A la Française. [PV]

Voilà maintenant plus d'un mois qu'il travaillait comme nouveau Concierge de Poudlard. Avec beaucoup de mal, il avait lu les centaines de livres, parlant des règles de bonnes conduites, de vie, et j'en passe. Il portait une légère chemise blanche mal rentré dans un vieux slim noir délavér, avec un souite gris. Là, sur sa poitrine reposait sa petite insigne : Concierge de Poudlard. Il avait mit ses petites lunettes, qu'il avait acheté pour trois francs six souc en France. Le soleil, venait à peine de passer son bras par la fenêtre. Peter, avait roder toute la nuit dans les couloirs menants aux dortoirs de chacunes des maisons. Etrangement, il n'y avait eu aucune fuite. Ou peut être était-ce parceque notre cher Peter, ne savait plus ou donner de la tête.

C'est vrai, la vie ici, le changeait beaucoup de sa vielle campagne française. Mais il vivait très bien, ici. Il avait eu beaucoup de chance, que Mlle ou Mme Lys Shakespeare l'est accepté ici. Elle lui avait vraiment donner une chance. D'ailleur dans qu'elle camp était elle ? Oui, parceque Peter, lisait la Gazette chaque jours. Très intructif, en France, il avait un peu le même journal. Mais, là bas, il n'y avait que les riche et très puissant sorcier qui pouvait lire ces journaux. Nous autres étions de pauvres crétins. Il faut dire, aussi que Peter, n'était pas né dans une famille riche avec des parents merveilleux. Mais qu'est-ce qu'il s'en foutait. Le plus important pour lui, était maintennt de vivre sa vie.

Dans son enfance, Peter avait toujours été faciné par les photos. Vous savez ces photos de sorcier, qui bougent. Qui nous montrent toujours la "réalitée" des expressions des gens. Enfin, c'est ce qu'on dit. En arrivant à POudlard, il avait tout de suite été faciné par ces milliers de tableaux, qui crouvraient les murs. Un vrai réseaux, de communication. Il avait même commencé à sympatisé, avec quelques fantômes. Mon dieu, jamais l'on aurait vu un fantôme à beauxbattons. Une bonne vielle école, avec ses règles bien parfaite, et ses fringues bien repassées. Décidement, ce temps ne lui manque pas trop. Il ne s'est jamais attaché aux gens, plutôt pratique quand on voyage.

Enfin, à ce moment même, il regardait d'un oeil fixe, les grands esclaiers qui menaient aux différents étages. Son ouie très fine, entendit des pas non loin de lui, se rapprochant à vive allure. Jusqu'au moment où.

Une journée. Une école de Sorcellerie. Une jeune femme.

Non loin de la gare de Pré-au-Lard, sur une colline aussi haute qu'un montagne se dressait le château de Poudlard : la destination de Selene. Après avoir embarqué deux heures auparavant à la gare "St Victoria's" à Londres, elle s'était endormie pendant le long trajet Londres - Pré-au-Lard qui ne nécessitait aucune escale pendant cette période de vacances. Un seul but : voir sa grande soeur Lys. Elle était enceinte depuis pas mal de temps. Selene l'avait appris le jour même où Lys l'avait appris. Mais Selene ne pouvait pas se déplacer ( et de toute manière, souhaitait être là pour la naissance du bébé ) : beaucoup trop de travail avec les Aurors. Et Londres, ce n'est pas la porte à côté de Poudlard ! De plus, Selene avait eu un grand pépin personnel. Avec cet ...

Elle préféra ne pas y penser et prendre sa valise dans la soute à bagages du train. Elle sera héberger dans l'appartement de sa grande soeur, pendant trois jours. Certes, c'était les vacances, mais elle savait qu'il restait du personnel à Poudlard, notamment Riku Harada et sûrement aussi quelques professeurs dignes. Les élèves, il n'y en avait que très peu. Que ceux qui n'avaient pas où passer des vacances convenables. Ils étaient au nombre d'une trentaine.

Selene se dirigea vers la sortie en tirant sa valise derrière elle. La chaleur était attroce. Selene rêvait d'un bon bain dans le Lac de Poudlard, vers la petite crique privée de Lys, là où elle-même se baignait. Combien d'heures avait-elle passé toutes les deux en compagnie de Riku, Michael ... Et voilà qu'elle se remettait à penser à ce ... mec indéfinissable ! Elle prit la première charette qui se présentait à elle et demanda Poudlard. Les rues étaient à moitié vide pour un samedi. Tout le monde était en vacances. Ils étaient soit partis à Londres ou encore dans la province de Fokelstone, selon Lys, où il y a la mer, et où Selene ira passé des vacances méritées pour la semaine de son anniversaire chez un ami. Le soleil tappait sur le bras de Selene, sur le rebord de la fenêtre de la charette, en ce début d'après-midi. Au zénith... " Look after you ". Selene était on ne peut plus songeuse. Elle sentait quelquechose. L'arrivée du bébé peut-être ? La télékinésie n'était pas nouvelle chez les soeurs Shakespeare. Foutaises ? Non !!!

Selene _ « Pourriez-vous accélérer Monsieur, s'il-vous-plaît ? Je suis ... pressée »

Le chauffeur hôcha la tête et accéléra en donnant un coup de fouets aux chevaux. Selene était plongée dans ses pensées. Ses yeux se fermaient tous seuls... Elle s'assoupit... Mais ... La charrette s'arrêta et le chauffeur annonça le prix du voyage. Selene paya et sortit. Lys lui avait donné le mot de passe du portail. Sa valise derrière elle, Selene traversa le sentier du parc du château d'un pas enjoué, son tee-shirt blanc lui collant à la peau. Ses cheveux bruns clairs étaient relevés grâce à une pince, son jean de marque la mettait on ne peut plus à l'aise, et ses énormes lunettes de soleil la protégeait des mauvais effets du ... soleil. La mode rien qu'à elle. Arrivée dans le hall d'entrée elle inspira profondément. Cela faisait des mois qu'elle n'était pas venue à Poudlard. Ce dernier lui manquait un peu plus chaque jour, mais elle faisait avec. Elle porta sa valise pour ne pas faire de bruit, et heureuse d'être là, impatiente de découvrir, d'en savoir plus. Elle marchait à pas rapides en direction de l'escalier, monta quelques marches, puis ... Elle sentit une présence ... Derrière elle. Elle se retourna et sursauta. "Quelqu'un" avait atteriti de nulle part. Un homme. On aurait dit qu'il l'attendait de pied ferme. Dans la pénombre du hall, Selene ne le voyait pas très bien, mais réussit à distinguer une silhouette adulte, avec des lunettes aux fines branches. Selene se retourna complètement, et réussit seulement à dire :

Selene _ « Euh ... Hum ... »

Un exploit pour elle. Tout simplement.

Peter fit volte face, très discrètement il ajusta ses lunettes. Oui, il était un peu myope, dommage qu’il n’ait pas eu assez d’argent pour avoir des lentilles. Enfin ce n’est qu’un effort esthétique, que Peter était loin d’assumer. Il reconnu la silhouette au loin, c’était une jeune Shakespeare ! Il l’avait vu un bon nombre de fois dans la Gazette. Etant donné que c’était la Chefs des Auror, elle faisait souvent la une. C’est alors, que la jeune femme se retourna, à son tour. C’était une belle femme, grande, belle et très fine. Elle lui faisait penser, à vous savez, ces tops model Parisien qui se promènent dans les champs Élisée. Peter, avait passé une journée à Paris, il habitait à 100 kilomètre mais y aller très rarement. Lorsqu’un jour son père l’envoya faire une réparation de tuyauterie. Enfin rien de bien intéressant. Surtout quand il tomba dans le bois de Boulogne qui était de l’autre côté de la ville.

Il n’eut pas le temps de faire un pas, que la jeune femme, lui dit :

Selene _ « Euh ... Hum ... »

Peter avec galanterie, s’avança, un sourire en coin. Etrangement pour le première fois, il avait envi de paraître bien présentable. Seulement, comment pouvait il savoir ce qu’était présentable ? Il avait bien lu, un livre sur l’art et la manière de se vestire. Mais entre les codes, les couleurs et autres. Il n’avait réussit à comprendre quelque chose. Il s’approcha donc de la jeune femme, d’un pas rapide. Et commença à parler, avec sa voix grave et cassé sans oublier le bon accent Français.

Peter _ « Bonjour, Puis-je vous aider ? »

Quel crétin, se dit-il. C’était la pire des phrases qu’il pouvait sortir. Il lui fallait autre chose, il sentit ses joues rosirent légèrement. Puis en quelque millième de secondes, il se rappela le chapitre 10 paragraphes 20 du livre : Méthodes de recevoir au Château de Poudlard. Faut croire que les gens ici, étaient complètement différents de ceux qui habitent dehors …

Peter _ « Vous les vous, que je porte vos valises ? »

Il enleva ses lunettes discrètement, il en avait un honte. Il sentit un léger noueux se nouer dans sa gorge Pourquoi réagissait il ainsi ?

Fatalité. Il s'agissait du concierge de Poudlard !

Combien de fois Lys en avait parlé à Selene dans ses habituelles lettres envoyées par hibou à Selene, à Londres ? Une fois, " il " avait failli mettre à mort Selene ! Attendez, j'explique :

Un matin, très tôt, alors que Selene était " super-pressée-un max ", elle reçu un hibou de la part de Lys qui lui expliquait que sa grossesse se déroulait très bien et que le bébé n'allait pas tarder à arrivé, et que l'été à Poudlard allait être plutôt paisible, en compagnie de quelques professeurs et du nouveau concierge, dont Selene ne se souvenait plus du nom. Selene était tellement absorbée par la lettre de sa soeur, qu'en traversant la route, elle faillit se faire renverser par un sale chauffard de pacotille, qui était lui aussi " super-pressée-un max ". La lettre s'était envolée à cause du vent, et avait totalement disparue, pendant que le Big Ben sonnait les douze coups de midi.

Voilà pour la petite histoire. Au moment présent, Selene fronça les sourcils. Il s'avança vers elle, d'un pas déterminé. On aurait dit que tout ce qu'il entreprenait était sérieux, et qu'il fallait y mettre de l'importance. C'était bien. Selene se disait que rien n'était banal. Que tout avait une petite importance. Petite, certes, mais importante quand même.

Peter _ « Bonjour, Puis-je vous aider ? »

Pas très naturel, mais très galant. Un peu trop. Selene se pencha vers ses valises. On aurait dit qu'il l'avait entendu :

Peter _ « Vous les vous que je porte vos valises ? »

Selene se pencha vers sa valise et son petit cabas de secours. Ils n'étaient pas lourds du tout. Elle sourit au jeune homme, qui avait les pomettes légèrement rosies :

Selene _ « Euh ... Non, ca va aller, merci »

Elle prit son cabas dans sa main gauche, et sa valise dans sa main droite. Et d'un pas déterminé, monta trois marches en le remerciant, retenant son souffle. Et là, elle eût comme un flash :

Selene _ « Votre prénom, c'est Peter n'est-ce pas ? »

Elle avait une chance sur un million de se tromper. Elle était sûre qu'il s'appellait comme ça.
Elle se retourna après avoir dit la phrase. Il avait enlevé ses lunettes. Ca y est. Elle savait exactement où elle l'avait vu. Elle avait une mémoire photographique du tonerre. Cela remontait à au moins deux bonnes années de cela. Chez Charlène. Une amie qui avait innondé son appartement parisien, après la fête de son anniversaire. Selene était chez elle ce jour là. Elle s'était cachée quand le plombier était arrivée, honteuse devant tant de massacre. Il avait tout reparé en un clin d'oeil, et Charlène alis Charlie avait tout épongé. Selene aurait pû usé de ses pouvoirs magique, mais Charlie, c'est une Moldu . Et le plombier, c'était lui, le concierge, elle en était sûre et certaine. Elle leva ses grosses lunettes de soleil sur le sommet de sa tête, ce qui fit découvrir son regard aux yeux en amandes. Elle attendait soit de se prendre un vent, soit de se sentir un peu fière ... Elle était prête, proche.

Il fut rassurer, qu’elle n’est eu besoin d’aide. Un peu flémard, il avait une tonne de travaille à faire dans le château. Il passa sa main droite dans ses cheveux, ce qui les décoiffa encor plus. Puis il allait partir quand la jeune femme qui elle aussi repartait dans sa direction, se stoppa.

Selene _ « Votre prénom, c'est Peter n'est-ce pas ? »

Peter très gêné, se posa un millier de questions en 2 secondes. Il la regarda très charmé, par la découverte des yeux amandes de la jeune femme. Mais comment savait-elle ? Il tenait ses petites lunettes dans sa main, les verres se fêlèrent calmement, comme si on avait fait « avance lente ».

Peter _ « Heu … Oui, c’est exacte. Mais comment le savez-vous ? » Répondit il précipitamment.

Il s’efforça de faire un sourire, même s’il était très étonné, et flatté que la jeune femme se souvienne de son prénom. Enfin s’en souvenir, on ne sait comment, puisqu’il ne l’avait jamais rencontré. Il ne s’en serrait souvenu, sans aucun doute. Il essayait, de rentrer maladroitement ses lunettes dans sa poche de son slim. C’est alors, qu’il partit dans son esprit. Pensif comme toujours. Un peu présent, et un peu autre part. Là bas, derrière la jeune femme, le tableau de Michelle Lagford, gonflait des joues comme un crapaud. C’était à mourir de rire. Mais Peter, ne disait mot. Il restait fixer sur place, à plonger dans les yeux attractifs de la jeune femme.

En y pensant, Peter connaissait le prénom de la jeune femme. Oui, il avait appris pas mal de chose sur la famille des Shakespeare, enfin il s’était forcé de les apprendre. La jeune femme devait être Selene Shakespeare, la sœur de Lys qui était enceinte. Dingue d’ailleurs, qu’une directrice soit enceinte. Trois élèves de 3ème année descendirent les escaliers en courant, en riant fort et mangeant des bonbons. Ils se calmèrent, en voyant Peter et Selene. Ils regardaient tous avec ébahissement Selene, qu’ils avaient vu mainte fois dans la Gazette. On aurait presque vu de la bave couler sur leur joue.

Peter _ « HUM…HUM… »

Ils leur fient un clin d’œil, et sans tarder ils partirent.

Selene lui sourit sans plus attendre. Elle savait qu'il allait lui demander d'où elle connaissait son prénom. Elle réfléchit à comment lui répondre. Il ne savait pas qu'elle était là lorsque Charlène avait fait appel à un plombier pour son appartement innondé. Elle préféra abréger

Selene _ « Lys m'a parlé de vous, et de vos ... talents pour votre métier »

Elle sourit, presque en rigolant. Sa valise lui faisait mal au bras, elle décida de la lâcher dans un grand fracas, puis de s'asseoir sur une des marches de l'escalier. A cet instant, trois élèves de l'école descendirent les escaliers en rigolant. Selene se tourna vers eux, et à cet instant, ils cessèrent de rigoler, peut-être même de respirer. Ils regardaient Selene avec une certaine envie de lui parler, de savoir si c'était bien elle qu'ils voyaient dans les journaux et sur les photos de famille accrochées dans le bureau de Lys Shakespeare. Selene baissa la tête, et les élèves s'eclipsèrent comme par magie, Selene ne sût pourquoi. Etait-elle devenue importante depuis la quête qu'elle avait menée avec les Aurors, et où elle avait failli perdre sa vie et celle de Michael, son ex petit ami ? Elle s'efforça une énième fois de ne pas penser à lui. La larguer pour partir à la quête du Mal. Devenir méchant et abandonner celle qu'on aime. Etait-ce donc possible ? Apparemment, avec Selene, tout était possible. Elle avait la vingtaine bien sonné, mais elle avait vécu tant de choses ! Bon comme mauvais. Et elle n'oubliait rien. Elle était paumée dans ses réflexions, et comme une âme perdue, leva les yeux vers Peter qui n'avait pas bougé, encore ébahi, et demanda

Selene _ « Dites ... Vous ne pensez pas qu'on st tous destiné faire quelquechose ? A avoir un but précis ? Vous ne croyez pas qu'on n'est pas seulement là pour peupler cette Terre, mais surtout pour accomplir un ... Destin particulier à chacun ?
»

Elle était loin de se sentir bête. Elle aait envie de partager des mots, des sentiments avec le ou la première venue, celui ou celle qui souhaiterait lui tendre la main, pas pour rien, ni pour suelment se montrer, mais pour la comprendre, elle Selene ...

Alors comme ça, Lys, la grande directrice parlait de Peter, le nouveau concierge de Poudlard dans ses lettres. Hum. Intéressant. Peter était d’un ordinaire plutôt curieux. Et d’ailleurs, il avait passé toute son enfance, à apprendre et jouer avec les outils que son père pouvait avoir. Il se rappel d’une petite anecdote, très croustillante : C’était un été, il venait d’avoir 8 ans. Il faisait une chaleur à mourir, et dans la vielle campagne de st pourçaint sur sioul, où il vivait. Il n’y avait que des champs autour de chez lui, Un matin, il avait pris tous les outils de son père et avait tout enterré dans le champ en face. Comme si c’était un trésor. Son père, qui était un peu béta, n’avait rien compris. Et cherche toujours, aux jours d’aujourd’hui ces vieux outils. Surement très rouillé. Heureusement, il en a racheté de nouveau. Mais étrangement, alors que l’argent ne coulait pas des masses, il n’avait rien dit.

Selene, paraissait un peu dans les nuages, après la sortirent des jeunes élèves. Il en était convaincu. Il en fut encor plus convaincu lorsque, tout en regardant Peter sereinement, elle lui parle d’un sujet qui l’étonna. Surtout avec autant de spontanéité.

Selene _ « Dites ... Vous ne pensez pas qu'on est tous destiné faire quelque chose ? A avoir un but précis ? Vous ne croyez pas qu'on n'est pas seulement là pour peupler cette Terre, mais surtout pour accomplir un ... Destin particulier à chacun ? »

Pour tout dire, Peter y avait déjà pensé. Et c’est surement, ce qui l’a amené ici.
Peter _ « Hum… Et bien écoutez, je pense que la destiné de chacun est écrite, depuis bien longtemps. Vous savez nous sommes née pour mourir, mais idiot et l’Homme, qui … ne profite pas de sa vie. Le destin est une chose qu’on choisi, l’Homme qui veut devenir quelqu’un le sera. Tout est question d’en avoir la volonté ! Le courage forge l’Homme, mais comme le disait Merlin, si vous avez un cœur prenez-le à cœur. Je n’ais jamais vraiment compris cette phrase. »

Lui-même, était partit dans ses plus grand rêve.

Selene hôcha la tête. Les phrases de Peter se bousculaient dans sa tête. Ca faisant boum un peu partout dans sa tête. Elle ne connsaissait pas très bien cet homme, mais elle savait déjà qu'il devait sûrement avoir un exprit philosophique, tout comme elle. Restait à savoir s'ils avaient les mêmes idées. D'après ce que venait de dire Peter, il semblait que oui. Selene, elle, qui sortait d'une relation amoureuse d'un bout de temps était vraiment paumée. Elle ens avait pas où donner de la tête. Son boulot la lassait de plus en plus. Heureusement que c'était les vacances. Elle pouvait décompresser en douceur.

Tranquillement, et sans se prendre la tête. Mais ce n'était pas le genre de la maison. Selene était d'un tempéremment à se compliquer la vie pour rien. Une véritable âme philosophique : se poser des questions sur TOUT. Comme l'avait dit Peter, la destinée est écrite. Elle en éait sûre. Tout avait été prémédité. Sûrement. Combien était de son avis ? Combien était contre son avis ? Encore des questions ! Elle préféra arrêté et regarder Peter :

Selene _ « Pourquoi faites-vous ce métier ? »

Selene avait été si spontanée ! Elle n'avait pas pris le temps de réfléchir ni d'être diplomate. Le Destin en avait décidé ainsi. De toute manière, quelqu'en soit la réponse, Selene savait qu'il allait répondre sans trop s'efforcer.

Il avait sûrement fait ce métier avec envie, passion peut-être. Il n'y avait pas de sots métiers, Selene en était sûre et certaine. Le soleil se couchait. Selene avait tout son temps. Elle avait rendez-vous avec Selene à neuf heures. Ou le lendemain si elle voulait ....

[C'est court, désolée =S]

Selene _ « Pourquoi faites-vous ce métier ? »

C’est vrai ça ! Pourquoi Peter avait il choisi ce métier. En faite c’est surtout par chance, il doit tout à Lys Shakespeare. La directrice de Poudlard. Peter, n’a jamais été un élève parfait, alors qu’a Beauxbattons, l’ordre et la fois était règle première. Il a réussit tout de même, à obtenir tous ces diplômes avec de bonnes mentions. Mais Peter n’était pas fait pour la France. Il n’était pas fait pour cette vie là-bas. Pour la première il fuyait. Enfin, y avait-il une autre raison ? Elle était inconnue aux yeux de Peter pour le moment. En arrivant en Angleterre, il lui fallait un logement, et de l’argent. Il avait entendu parler de Poudlard. Et de tout ce qui s’y passait. Il prit contacte avec Lys Shakespeare, qui voulu avec plaisir lui donner le poste de Concierge. Il a toujours eu un très bon contacte, avec les gens, ce métier « provisoire » lui aller parfaitement.

Peter_ « Heu … Et bien, pour tout vous dire. C’est une sorte de boue de secours, qui me permet de vivre comme je l’entends. Enfin, ce métier me permet de vivre ici. –Il s’arrêta reposant les yeux sur Selene- Mais ce n’est pas pour autant que je ne l’aime pas, je vais acquérir une expérience … »

Il aurait été curieux, de savoir pourquoi Selene était Chef des Aurors ? Comment avait elle atteint ce si grand grade. Il se prenait à rêver, il se voyait en pleine bataille. Comme il le lisait dans la presse.

Peter _ « Je n’ais jamais appris réellement à me battre ».

Pourquoi venait-il de dire ça ?! Cela n’avait aucun sens, cette phrase était sortit seul de sa bouche. Immédiatement, il reprit :

Peter _ « Et vous ? J’imagine que votre métier correspond à votre destiné ? »

Ouais. Elle avait raison. Il n'y avait pas de sot métier. On en restait là.
Elle décida de remettre à une date ultérieure sa prochaine question. Pourquoi insisté ?

Peter _ « Je n’ais jamais appris réellement à me battre ».

Pourquoi cette phrase? Selene fronça les sourcils. Il n'avait pas dit ça pour rien. Surement pas. Dans son quotidien, Selene se battait contre les Angels of Death ainsi que contre ce et ceux qui mettaient au travers de son chemin. Chacun son chemin. Chacun son Destin. Selene devait mener le sien, même si sa vie en dépendait. Chaque jour, elle risquait sa peau dans son métier. Mais on va dire qu'elle avait fait ça par passion... Elle n,e préférait pas répondre à la question retour de Peter. Mais accentuée sur le phrase qu'il avait dit avant de lui poser la question

Selene - « Réellement à vous battre ? Voulez-vous que je vous aprenne ? »

Ok, ca faisaiat prétentieux, mais c'était son travail et sa destinnée d'aider les autres à se défendre. Le Mal était partout à présent, et Selene, elle, ne pouvait pas être partout. Il fallait que les uns et les autres se débrouillent seuls. Et donc, c'était le devoir de Selene de les former, de les préparer à des peurs futures, quelles qu'elles soit ...
Elle n'allait pas répondre à la quesition de Peter sur le métier, pas encore. Mais elle allait en poser, elle, seule. On apprend beaucoup en posant les bonnes questions, au bon moment, à la bonne personne...

Selene - « Réellement à vous battre ? Voulez-vous que je vous apprenne ? »

Peter se serait cru 10 ans avant. A Beauxbattons, « la grande dame » qui est la directrice. A arrêter le programme de défense, depuis son entré. Sois disant, que nous avons des gens, qui s’en occupe très bien. Enfin, c’était complètement ridicule. Il faut croire qu’en France, c’est un autre monde. Peter ne connait presque aucun sort de défense ou d’attaque. D’ailleurs, Lys Shakespeare, l’a surement recueilli ici, pour l’une de ces raisons. Il été un peu gêné, la jeune Shakespeare venait surement ici pour prendre un peu de repos. Mais qu’importait, Peter était impatient de commencer. Après tout n’était-ce pas les vacances ?! Alors profitons.

Peter _ « Vous savez je suis un p’tit français, à Beauxbattons tout est très différent ! »
Il la regarda avec un air amusé et de vrai gamin.

Peter _ « M’apprendre ? Vous avez tout à m’apprendre »

Il sortit sa longue baguette, se sa poche arrière. Il la mit en l’air, et en informulé fit apparaître une rose de sa main. Une rose Rouge sang, comme celle que sa mère avait dans son jardin. Puis il se baissa, comme s’il disait bonjour à la vielle Française. Et tendit la rose à Selene. Il tenait son petit numéros, très amusé.

Selene sourit. On aurait cru qu'il attendait ce moment depuis bien longtemps. Selene se leva, et dégaina sa baguette elle aussi, jusqu'à entendre ça :

Peter _ « Vous savez je suis un p’tit français, à Beauxbattons tout est très différent ! »

Selene voulut rire, mais se retint car voilà que Peter avait fait apparaître une rose rouge. Fine et belle. Elle respirait l'entrain. Et Peter la tendit avec grâce à Selene. Elle l'attrapa gentimment. N'était-il pas en train de la draguer ? Elle ne voulait pas savoir ! Et elle lui dit :

Selene _ « Moi aussi je suis de nationalité française ... De Beaux-Bâtons ? Mais ... Moi aussi je suis de Beaux-bâtons, j'y ai ... tout appris ! Rien ne dépend de l'école où on trace son avenir, tout dépend de nous et de notre volonté. »

Elle en était l'exemple : elle avait réussi. Triomphé sur le Destin, et pas de main morte ! Toujours la rose dans la main, elle dit :

Selene _ « Ce serait mieux si on allait dehors .. »

Elle mit ses lunettes. D'habitude elle ne réagissait pas comme ça. Elle ne savait pas pourquoi là c'était comme ça ...

Selene _ « Moi aussi je suis de nationalité française ... De Beaux-Bâtons ? Mais ... Moi aussi je suis de Beaux-bâtons, j'y ai ... tout appris ! Rien ne dépend de l'école où on trace son avenir, tout dépend de nous et de notre volonté. »

Peter ne s’était donc pas trompé. Il avait reconnu, le léger accent français qu’avait Selene. Alors comme ça, elle avait été étudiante à Beaux-bâtons ! Peter était curieux de savoir si un jour ils avaient eu court ensemble. A moins qu’il ne soit un poil plus âgé qu’elle. Certes, l’on apprenait la bonne magie, et Peter connaissait ses sorts. Mais en aucun il avait faire « de la pratique ». Surement du au faite, que ses parents ne pratiquaient jamais de magie, et qu’ils étaient pauvres. Mais aussi dut au faite qu’il ne s’était jamais inscrit au mini club de duel. Et puis c’était plus un truc de fille. Un peu macho quand même. Et, peut être aussi qu’il ne fréquentait pas les bonnes personnes. Enfin, ne cherchons pas d’excuse et avançons. C’est toujours ce que lui disait sa mère.

Il était toujours amusé du petit sort, qu’il avait appris lorsqu’il était tout jeune. Rien de tel qu’une bonne bouffé d’air frais. Il ne tarda pas à lui répondre.

Peter _ « Comme vous voudrez ! Vous connaissez mieux Poudlard que moi. »

Peter _ « Comme vous voudrez ! Vous connaissez mieux Poudlard que moi. »

Ah bon ? N'était-il pas concierge ? Dans les normes, il devait sûrement connaître tous les moindres recoins du château. Les passages secrets et tout le reste. Mais peut-âtre qu'il avait raison et que Selene avait plus de connaissance sur Poudlard qu'il en avait lui ! Une grande chance pour Mademoiselle Shakespeare. Elle était intimidée. Mais ça ne se voyait pas. Ca faisait une bonne heure qu'elle connaissait Peter, mais elle s'était ... comment dire ? Attachée à lui ? Oui, c'est ça ! Elle s'attachait vite,, trop vite aux gens. C'était dans gênes ... On ne pouvait pas faire autrement. Elle se leva, la rose toujours dans la main. Elle allait combattre. Elle était toujours prête à combattre.

Selene _ « Allons-y ! »

Elle mis ses affaires de côté. Ce n'était rien de bien important. Seulement des vêtements et un cadeau pour son neveu. Il allait être splendide. Elle le savait. D'abord un petit côté Shakespeare, et ensuite, je dis bien ensuite, un peu de son père. Quand est-ce qu'elle allait avoir un enfant elle, Selene ? Elle ne savait pas. Un petit bout d'chou rien qu'à elle. Et à son paternel bien-sûr. Mais ce sera qui ce paternel ? Elle avait beaucoup pensé à Michael, mais il avait rompu. Plutôt pas mal d'avoir rompu après avoir fait rêvé la pauvre Shakespeare ! Quel traître !
Selene regarda Peter. Il avait un air enjoué, les yeux pétillants de malice. L'avait-il entendu ? Aurait-elle pensé si fort qu'il aurait entendu ce qu'elle disait ? Non ... Il était content car elle allait lui offrir une petite leçon de self-défense. Rien de plus. Selene baissa la tête, et se souvint d'un truc. Elle prit un papier dans la poche arrière de son jean. Elle en sortit un morceau de parchemin griffoné proprement. Dessus, il y avait la base des Sortilèges à apprendre pour savoir se défendre en cas de "grand" danger. Elle la tendit à Peter. Il fallait qu'il l'apprenne avant de pouvoir s'attaquer à quelquechose de plus important.

Selene _ « Avec les encouragement de la maison ! »

Il fallait qu'il sâche qu'il devait se protéger. Sinon, sa belle petite bouille allait être abimée ... Elle se sentit rosir légèrement. Grande idiote !

Peter connaissait Poudlard comme sa poche. Poudlard, mais il allait rès rarement à l’extérieur. C’est pour ça qu’il avait une peau très blanche. Et puis, il avait déjà énormement de chose à s’occuper à l’intérieur de Poudlard. Il avait « visité » une fois, la forêt interdite, et le reste avec le garde chasse. Il avait lu beaucoup de livres, sur Poudlard et sa forêt Interdite. Mais elle était bien plus riche à l’époque ou le célèbre Harry Potter y vivait. Peter aimait bien Selene, son premier contacte se passait plutôt bien. Il commençait à un peu plus la regarder. Avec une certaine insistance. La jeune femme avait tous les traits d’une belle femme. Un peu mystérieuse, mais Peter avait l’impression qu’elle n’éttendait qu’a être découverte. Elle était plutôt jolie et très intélligente. Et puis Française ! Enfin, elle devait surement avoir un mari ou quelque chose comme ça.

Selene _ « Allons-y ! »

Selene avait l’air très pensive. Bizarement, son visage changeait de sourire pensif, au dégout total. Elle ne s’était surement pas rendu compte que Peter la regardait. Il gardait son sourire enjoué. N’attendant qu’a apprendre. C’était la première depuis bien longtemps qu’il apprendre. Lorsqu’il était jeune à Beaux-battons, il se foutait bien des enchantements. Il préférait ouvrir son livre et avancer seul le soir dans son dortoir. On le disait un peu fille manquer, parcequ’il étudiait et ne jouait jamais avec ses amis garçons. Ce n’est pas qu’il aimait le quidditch, mais il avait un peu peur du vide. Et rien que de ce dire qu’il était à des dizaines de mètres du sol lui donnait la nozé.

Il la vi posé ses affaires, puis prendre un petit papier de sa poche et le tendre à peter. Qui ne tarda pas à la prendre.

Selene _ « Avec les encouragement de la maison ! »

Il ouvrit le petit papier, il reconnu quelques noms de sortilèges qu’il avait « appris ». Mais cela faisait bien longtemps, et il ne se rappelait plus trop à quoi chacun servait. Tout en regardant, le petit papier il poussa la grande porte du château. Et tout deux sortir en direction du parc. Peter eu un léger frissons, dans le dos. Il faisait froid, mais c’était magnifique. Les montagnes qui entouraient le château, était blanche, le lac était gelée. De plus, ils étaient seul. Pas un élève à la ronde. C’était vraiment calme.

Les portes du château s'ouvrirent grâce à Peter. Un vent lui pénétra la peau. iIl faisait ni chaud ni froid en cette fin de printemps. Enfin, d'après Selene. Le temps, c'était le compagnon de Selene. Il l'a mettait en beauté, ou bien toute grise. A lui de voir. Et c'était à Selene de s'adapter, qu'elle le veuille ou non. Aujourd'hui, elle n'avait qu'un simple gilet gris sur un débardeur blanc en dentelle, un jean rentrés dans des bottes Santiags. C'était sa mode à elle. Elle l'aimait. Ses lunettes de soleil sur le front, et ses cheveux noirs remontés en arrière, en queue de cheval. Elle pendait encore à ce ... Il hantait sa vie depuis longtemps. Peut-être qu'un jour, il allait en sortir ! Mais, elle ... Elle sortait d'une relation amoureuse, et elle était complètement paumée. Le monde n'avait pas le droit de lui faire ça. C'était horrible... On ne jouait pas avec les sentiments ... De toute manière, Selene n'y pouvait rien ! Et de plus, ce Michael, elle ne l'aimait plus. Elle jeta un regard en coin à Peter et vit qu'il était en train de la regarder pendant qu'ils marchaient. Avec un air interrogateur envers Selene. Elle éclata de rire et dit :

Selene _ « Désolée, mais je pensais à ... à ... mon ex-fiancé ... C'est dur, mais j'arrive à surmonter. D'ailleurs j'arrive à tout surmonter ! »

Elle avait dit sa dernière phrase avec un peu de vantardisme dans la voix. C'était vrai ! Elle arrivait à surmonter pas mal de chose, se trouvant au-dessus des problèmes et des mésaventures. C'était donc vrai. Elle aidait même les autres à surmonter, à savoir, à apprendre, à perservérer, et surtout, à surmonter. La preuve avec Peter : elle allait l'aider à surmonter sa « phobie » de ne pas se défendre réellement. Et d'un seul geste, d'un seul mouvement, elle grimpa sur le dos de Peter en criant « WOUHOUUU !! » ! Elle sera son étreinte en mettant ses bras autour du cou de Peter, de peur de tomber. Et elle dit en riant :

Selene - « Vous voyez que je peux tout surmonter ! »

Selene _ « Désolée, mais je pensais à ... à ... mon ex-fiancé ... C'est dur, mais j'arrive à surmonter. D'ailleurs j'arrive à tout surmonter ! »

Peter était retombé dans ses pensées, aussi lointaine quel soit. Sans, sans rendre compte réellement, il dit à voix basse :

Peter _ « Ah les femmes »

Même si Peter, était quelque fois matcho, il reconnaissait sans hontise, qu’une vie sans femme. Serait surement un désastre. Exemple : L’amour. Quoi que on peut aussi le trouver avec un homme. Enfin imaginer une terre peupler d’homme. A en mourir de rire. Peter, se repassait toutes les jeunes filles de Beaux-battons. Il cherchait se beau visage, celui de la femme qui était à côté d’elle. Il l’avait forcement croisé un jour. Peter avait remit sa baguette dans sa poche arrière. Et c’est heureusement pour lui, car quelques secondes plus tard. Il ne s’attendait certainement pas, à ce que Selene monte sur son dos. Peter était mort de rire. Et ca, cela faisait bien des dixaines d’années qu’il ne s’était pas amusé. Tient d’ailleurs, c’est plutôt étrange. Peter est plutôt d’un caractère amusé. Mais il faut croire que sa vie en France était bien différente. Tous ses muscles se contractèrent, Selene venait de crier un crie de guerre. Il était obliger de se retenir de rire, au risque de la faire tomber. Amusé de la situation, il cria à son tour :

Peter _ « EN AVANT TOUTE M’DEMOISELLE ! »

C’est Selene avait du surmonter bien des choses. Il n’avait aucune idée, de ce que pouvait être la vie au Ministère. Bien trop fatiguant pour lui. Elle lui serrait le coup, il passait ses mains sur les cuisses de Selene, et partit en courrant vers le petit pont qui amenait au lac. Et Hop, il partit en courant vers le lac. C’était une bonne chose de faire un peu de « sport », il ne faisait pas extrèmement chaud. Pour le coup, Peter en fut réchauffer. Il manqua de tomber à plusieurs reprises mais sur ses jambes il avait un très bonne équilibre. Il sentait le cœur de Selene battre à plus rapidement, surement que tenir sur quelqu’un était d’un bien plus compliqué de soutenir la personne. Arrivant dans la descente, il sentit les mains de la jeune femme se resserrait sur son coup.
Il contracta ses bras, et avança au plus vite qu’il pouvait tout en criant : « WHOUHOUUUUU ».

Selene rit de plus belle. Peter aussi était amusé. Bonne chose, « very good » ! Selene se serait encore plus. Imaginons qu'elle tombait ! Aïe, aïe, aïe ! Il fallait bien qu'elle trouve le moyen de rester sur pieds ! Mais de toute manière, elle sentait que Peter faisait tout pour rester en équilibre. Rien de mieux que de délirer un peu avec quelqu'un qui savait apprécier les choses. Sérieusement. Délirer sérieusement. Etait-ce possible ? Encore une question sans réponse. Le vent faisait flotter les cheveux de Selene. Elle appréciait. Elle savourait. Elle avait le droit non ? Après avoir enduré si dur ... Si fort ... Elle rigolait encore lorsque Peter lui dit :

Peter _ « EN AVANT TOUTE M’DEMOISELLE ! »

Et il s'engagea sur le pont qui permettait de traverser le lac. Il était clair à la surface. Il n'était plus gelée comme tout à l'heure, et le soleil faisait son apparition en ayant chassé un nuage gris qui vous mettait de mauvaise humeur. Selene s'aggripait. Elle avait de plus en plus peur. Son coeur battait la chamade, mais elle se disait qu'il fallait apprécier et se taire. Compatir avec le Destin et le bonheur de la Vie. Elle poussa un cri au moment de la descente du pont. Malgré lui Peter accélérait à cause de la desecnte. Et le pire arriva malheureusement. Il trébucha et partit en roulant en galipettes. Selene cria et lâcha tout d'un coup. Elle roula sur le pont tel que dans une attraction, mais sans protection. Elle criait en roulant, ne sachant même pas où se trouvait Peter. Loin d'elle ? A côté ? Elle criait encore jusqu'à arrivé tête la première sur le sol. Sur le sol ou sur Peter ? A côté peut-être ? Elle ne le savait pas .. Ou plus. Elle était complètement dans les vapes. Elle réussit à articuler :

Selene _ « Peter ? »

Par mégarde, ou malchance, ou hasard, ou Destin, ou préméditation, ou bien même tout ça à la fois, elle se trouvait juste au-dessus de lui ...

Selene _ « Peter ? »

Hélas, il n’avait pas eu le temps de faire quoi que se soit, il s’était retrouver par terre en de trois mouvements. Avec Selene par la même occasion. Le caillou, sur lequel il avait marché l’avait fait trébuche, le déséquilibrant totalement. Malgré, qu’il se soit cassé la binette, il riait. Il rirait silencieusement, mais il rirait assez fort pour qu’il sente en contractant ses muscles qu’il avait une belle égratinure sur la hanche. Enfin, il s’en foutait totalement. Il continuait à fermer les yeux. Il sentait une douce respiration non loin de son oreille. Halentant, Selene, par un grand hasard, après les quelques roulades. C’était retrouvé sur Peter. C’était donc la tête de Selene qui c’était écrasé sur sa hanche. Peter rouvrit les yeux, et esseya de se lever. Mais quelque chose l’en empechait.

Peter _ « Selene ?! Ca va ? »

Peter, se stopa net dans sa monté. Selene était face à lui, a moitié affalé sur le ventre de Peter. Complètement dans les vapes. Il se rendit compte, qu’il était rriver au lac. Il avait donc réussit à dévaler toute la descente. Sa chemise blanche était complètement déchiré. Sa seul chemise. Soudain, lui vint un rire un peu incontrolable. Se rendant compte de ce qui venait de se passer. Et surtout avec qui, il venait de le faire. Il regarda d’un air soucieux Selene, qui se remettait tant bien que mal de ces émotions.

Peter _ « Hum … Je crois que nous sommes bon pour faire les montagnes russes la prochaines fois. »

Que se passait il, Il y avait quelque chose dans l’air. Et Peter s’intimidait. Face à lui, se tenait toujours Selene. Il ne s’arrêtait pas de se fixer. Un millier de questions vinrent troubler les douces pensées de Peter. Il avait envi … mais rien ne se passa. Il baissa les yeux, et aida Selene à se remettre sur place. Il tenait toujours ce même sourire de joueur.

Aïe. C'était tout ce que Selene voulait dire. Elle avait un peu mal partout, mais pas autant que lorsqu'elle combatait les Angels of Death ou autre bêtise. Elle avait le cerveau à l'envers. A croire que la chute était réelement troublante, et qu'elle avait retournée tous les membres de Selene. Bon, là, rien de grave, elle avait sûrement une petite bosse, mais... C'était de sa faute ! Elle avait grimpé sur le dos de Peter sans se rendre compte qu'à un moment ou à un autre, ils allaient tombés. Pendant la grosse chut, elle avait entendu un espèce de craquement, surement ses lunettes de soleil. C'était pas grave. Un « Occulus Reparo » allait tout réparer. Elle remit ses cheveux en place. Toujours au-dessus de Peter, comme-ci tout cela était normal.

Peter _ « Selene ?! Ca va ? »

Si elle allait bien ? Elle ne le savait pas même pas. Rien de tout cela n'aurait dû se passer si Selene n'avait pas joué la folle. Mais on ne pouvait pas changer le passé. Quoique ce passé aurait pû être un bénéfice si ils ne seraient pas tomber. Ou le contraire... Selene se remomera la scène. Elle n'y arrivait même pas...

Peter _ « Hum … Je crois que nous sommes bon pour faire les montagnes russes la prochaines fois. »

Selene rit gentiment, pendant que Peter lui, s'esclaffait. Elle fronça les sourcils. Il se moquait d'elle ? Peut-être. Elle essaya de se lever et il l'aida. La preuve. Elle se sentait gênée, tout était de sa faute. Elle essuya son jean maculé de terre, et rajusta ses bottes santiags sans un regard pour Peter. Elle releva la tête et vit que la chemise de Peter était déchiré.

Selene _ « Ouah ! Laissez-moi réparer ça ! »

Elle murmura une formule, et la chemise se recousut d'un seul coup. Selene sourit. Elle n'avait pas eprdu la main en matière de sortilège de réparation. Elle baissa la yeux en disant :

Selene _ « Bon ... Euuh ... D'abord la liste d'accord ? »

Elle n'avait toujours pas levé les yeux...

Selene _ « Ouah ! Laissez-moi réparer ça ! »

En deux trois mouvements, la chemise de Peter était réparé. Comme par magie j’ai envi de dire … Selene baissa les yeux avant de répliquer :

Selene _ « Bon ... Euuh ... D'abord la liste d'accord ? »

Ah, oui c’est vrai, la liste. Il en avait presque tout oublié. Il reprit son sérieux, et sortir le petit papier froissé de sa poche de jean. Puis il prit sa baguette, qui avec la chut avait trouvé la poche. Il la sortit discrètement, et lu a voix basse ce qu’il y avait d’écrit. Il en connaissait la plus part, mais il était difficile, de se rappeler si Peter arrivait parfaitement à les contrôler. Il connaissait plutôt bien les sortilèges de défenses, et un d’attaque. Il releva les yeux vers Selene qui ne bougeait plus.

Peter _ « Vous voulez que l’on commence par quoi ? »

Peter était prêt à faire n’importe quoi. Il allait surement se prendre la racler de sa vie. Mais il était là pour apprendre, et si ses souvenirs étaient bons, il était plutôt rapide comme un éclair de feu lorsqu’il s’agissait « d’agir ». Sa baguette n’était pas très propre. Il fallait qu’il pense à en racheter une un jour. Elle n’était pas d’une excellente qualité. Il se demandait même si ce n’était pas celle que son père avait lorsqu’il utilisait encor, la magie. Il avait entendu parler d’Ollivander, un grand marchant de baguette depuis des siècles. Il ira y faire un tour. Il tapota la paume de sa main à l’aide de sa baguette, se qui fit disparaitre le petit papier. Après plusieurs, lecture il n’en avait besoin qu’en aide mémoire. De faite, il se résignait à improviser.

Il s’écarta un peu de Selene, il attendait les ordres.

Selene recula un peu. Il fallait de la place pour jetter des sorts. Elle allait juste lui mettre les bases dans la tête et tout sera ok. Une fois qu'on a la base de quelque chose, le reste n'est que facilité. Application et compréhension. Elle sortit sa baguette. Elle répondit à Peter :

Selene _ « On va commencer par ça. Attaquez-moi. »

Peter fût étonné de tant de vivacité. De rapidité. Il ne fallait pas perdre de temps. Selene savait que Peter était avide de savoir. Il lui jeta un sort qui la propulsa à l'autre bout du pont. Elle atterit lourdement, après avoir tourbilloné dans les airs. Elle ouvrit les yeux. Elle était au sol. Elle se releva d'un bon et hurla :

Selene _ « EXPELLIARMIUS ! »

Peter vit sa baguette voltiger à dix bons mètres de lui. Mais il était loin d'être au bout de ses surprises. Selene lui jeta un sort qui le cloua sur place. Il était figé, mais capable de parler, de rire, et de s'exprimer, mais juste avec les mots? Son sens du toucher était complètement bloqué. Selene coura vers lui. Elle lui dit :

Selene _ « Il faut toujours se préparer à ce qu'on vous désarme, ok ? »

Elle rit sous cape, le défigea et l'envoya voltiger dans les airs. Il atterit juste en face de sa baguette. Selene lui cria en fixants ses propres ongles.

Selene _ « Tout reste toujours basé sur la défense. Dans ses cas-là, si vous n'avez pas votre baguette, esquivez et faites TOUT, je dis bien TOUT pour la récupérer. »

Elle fixa ses bottes en attendant...

Ca y est ça commence. Peter se prépara, il se mit en position, ferma les yeux, prit une bonne respiration. Il savait qu’il n’en aurait pas le temps autrement. Il projeta Selene à des dizaines de mètres. Il ne fallait pas avoir peur. Il s’attendait à ce que Selene réplique. Mais il n’eut pas le temps de dire un mot, que c’est au tour de sa baguette de s’envoler. Puis allant chercher sa baguette, il fut fixé sur place. Il ne sentait plus rien. C’était vraiment une étrange sensation.

Selene _ « Il faut toujours se préparer à ce qu'on vous désarme, ok ? »

Peter en conclu qu’elle n’attendait pas de réponse. Elle le défigea et l’envoya en l’air. Il réagirait sur le sol dure de terre, à coter de sa baguette planter dans le sol. Il l’enleva du sol, nettoya le bout à l’aide de sa chemise déjà crasseuse. Et en profita pendant que Selene s’occupait d’autres choses, pour attaquer. En informulé pour ne pas être trahit, il la désarma. Fier de lui, d’un geste souple de la main, il créa un mur transparent tout autour de Selene.

Peter _ « Je crois que j’ai compris la leçon. »

Il s’avança vers Selene, tout en ce mettant devant la baguette de celle-ci, qui était à terre. Il retira le mur transparent, qui la bloquait. Et partit se replacer plus loin. Il tenait sa baguette fermement, et sentait la magie couler dans son sang.

Selene se trouva un peu idiote lorsque Peter la désarma. C'était vrai : elle n'avait pas tout fait pour rester concentrée. Elle l'avait joué à la légère en regardant ses ongles d'un air insignifiant et indifférent. Hum. C'était bien fait pour elle ! Elle avait un peu trop joué la maligne avec Peter, alors qu'il apprenait vite ses bases. Bénéfice ! Elle fût encerclée d'une sorte de muraille invisible. Elle avait appris ce sortilège en sixième année. Elle l'avait adoré car on ne pouvait plus rien faire, on était enfermée. Et Selene, elle développait une clostrophobie atroce. Elle commenca à paniquer, mais reprit ses esprits aussi vite qu'elle ne le pût. Un peu troublée, elle récupéra sa baguette après que Peter ait « rouvert » le mur.

Peter _ « Je crois que j’ai compris la leçon. »

Super ! Selene en fût fière, et avec un sortilège d'attraction informulé, elle récupéra sa baguette avec un :

Selene _ « Je crois que ça suffit pour aujourd'hui. Vous apprenez vite. »

C'était vrai. Elle avait eu son gros-petit plein d'émotion. Elle s'assit sur l'herbe bien verte, et rajusta ses bottes, son gilet, et farfouilla dans son sac, afin de trouver un carré de chocolat . Un bon et fondant chocolat sortant tout droit de la confiserie de Pré-au-Lard « Honeydukes ». Elle l'avait acheté juste en arrivant à la gare. Pour se faire plaisir. Et c'était le cas. Elle commenca à le manger, et vit que Peter la regardait. Elle sourit, un peu honteuse et dit :

Selene _ « T'en veux ? »

Elle l'avait tutoyer. Elle se rattrapa :

Selene _ « Euh je veux dire, vous en voulez ? »

Selene _ « T'en veux ? »

Selene _ « Euh je veux dire, vous en voulez ? »

Selene était en train de déguster un succulant morceau de chocolat de chez Honeydukes. Peter adorait le chocolat, c'était son petit pécher mignon. peter n'était pas surpris que Selene le tutoie. Enfin, il était peut être bien plus agé qu'elle, et même si au départ Peter n'aurait jamais pensé qu'il aurait put tutoyer Selene dans sa vie. Il baissa la tête sur le côté, en gardant son sourire en coin :

Peter _ « Je pense qu'on peut se tutoyer, non ? »

Il fit les yeux doux comme il le savait si bien faire. Puis reprit, n'attendant pas spécialement de réponse de la part de Selene.

Peter _ « Et hum ... je veux bien un petit bout. Merci ! »

Faire toutes ses accrobaties avaient donné à peter un faim de loup. Il prit le petit morceau que selene lui coupa, et le dégusta avec plaisir. C'était délicieux. En France, un pays qui était réputé pour ses gouts, rafinés. Peter avait eu l'occasion de gouter a des saveurs, qu'il reconnaissait dans ce chocolat. D'ailleurs, ce devait être une jeune demoiselle qui habitait à paris qui lui avait offert. Lors de ces réparations de plomberie. Il n'emp^che qu'il s'était fait un peu d'argent. Mais certainement pas assez pour vivre ici, sans revenu.

Peter _ « Tu aimes le quidditch ? »

Etrangement, alors qu'il défendait à ce que lui et Selene se tutoie, dire cette phrase le troublait. En plus, elle était riddicul, on aurait une vielle phrase de premier plan de drague, bien foireux.