Seule { Libre }

Voilà au moins cinq heures que la jeune fille avait découvert pour la première fois le magnifique château de Poudlard, elle avait pris le célèbre train et était enfin arrivée au château pour enfin se faire repartir et savoir qu’elle serait sa maison.
La cérémonie avait duré plusieurs heures ainsi que le banquet, a son souvenir elle n’avait jamais autant mangé pourtant le banquet de première année a Beauxbatons avait été important, très important, tellement important que plusieurs élèves ne pouvant contenir leur gourmandise avaient été malade pendant plusieurs jours.
Puis la fin du banquet avait sonné, les élèves avaient des mines réjouis et endormis mais lorsque les préfets de chaque maisons se levèrent et demandèrent de les suivre, la jeune Calaïs et son anglais plutôt faible ne surent que faire, ni que suivre.
Elle avait été emportés jusque dans le grand hall mais une foule d’élèves l’avait bousculés et se retrouva complètement désorienté au milieu de tout le chahut.
Après quelques minutes d’une panique certaine, et les élèves s’étant tous dispersés, la jeune française resta seule dans le grand hall

* Pff c’est bien ma vaine! Qu’est ce que je fais maintenant? * pensa elle

Puis elle respira longuement et profondément pour reprendre ses esprits.

* Quelqu’un passera bien d’ici quelques minutes et m’indiquera où se trouve ma salle commune*

Ayant réfléchis pendant quelques instants sur les tenants et aboutissants de cette histoire la jeune femme alla s’asseoir sur les grandes marches de marbre blanc, elle était très froide malgré la chaleur profonde de la pièce. Calaïs commença ensuite a faire traîner son regard tout au long de la pièce, ce hall était immense, moins imposant que celui de BeauxBatons mais quelques choses d’autres régnés dans ce hall, une sorte de sympathie, une chaleur qu’il n’y avait pas en France. Le hall était aussi orné de miles et un tableaux tous plus beaux les uns que les autres, il y avait en particuliers des portraits, elle alla en regarder quelques un; elle vit en particulier une grosse femme qui mangé des gâteaux, devant une table tellement garnis que l’on ne pouvait voir que les pieds de cette table. La dame la regarda; rigola puis lui fit une grimace avant de se retourner, la jeune Calaïs alla donc s’asseoir en essayant de distinguer un nouveau bruit, un bruit de pas….

Seiko entamé sa 6eme année d'étude à Poudlard maintenant. Que le temps passait vite, trop vite à son gout d'ailleurs mais qu'importe. Cette année allait surement être beaucoup plus interessante que les précédentes étant donné qu'il avait été nommé prefet des Serpentard ce qui l'honorait beaucoup. Jamais l'idée qu'on le choississe lui ne lui avait traversée l'esprit. Pour le banquet de début d'année le jeune homme avait reveti une longue robe de sorcier d'un noir d'encre sur laquelle se trouvait le blason de sa maison et son insigne de préfet. Comme chaque année, la répartition des nouveaux venus avait duré pas mal de temps, environ une heure, mais ils purent enfin manger à leur guise une fois que ce fut terminé. Ce spectacle était vraiment marrant. C'était pareil tout les ans. Les petits nouveaux se jettaient su les plats en essayant d'en mettre un maximum dans leurs assiettes comme si les plats allaient disparaitre ce qui n'était evidement pas le cas.

Le jeune corréen n'avait pas beaucoup mangé. Cela faisait quelques mois qu'il ne mangait pas grand chose à table ce qui a tendance à exaspérer ses parents. Mais maintenant qu'il était à Poudlard il pourrait faire ce qu'il veut sans que ces parents soient derrière lui pour le surveiller ce qui n'était pas plus mal. La directrice de Poudlard annonça la fin du banquet et demanda à ce que les élèves suivent leurs préfet pour se rendre dans leurs salles communes respectivent. Seiko, aussi silencieux qu'une ombre, se fraya un chemin à travers les élèves et les conduisit dans les sous sols du chateau, là où se trouvait leur salle commune. Il s'arreta alors devant un tableau dans lequel se trouvait un charmeur de serpent en train de jouer de la flute. Tout les élèves l'imitèrent.

"Sang pur." dit il avec un ton ferme.

Le charmeur interrompit son morceau de flûte et le tableur pivota, laissant ainsi apparaitre lentrée caché de la salle commune. Une fois tout les élèves à l'intérieur Seiko s'éclaircit la voix avant de reprendre la parole.

"Voici la salle communes des Serpentard. Le mot de passe pour y accéder est Sang Pur. Ce mot de passe ne doit en aucun cas être connu d'un élève d'une autre maison est ce bien clair sous peine de sanction. Concernant les dortoirs, ceux des filles se trouvent en bas des escaliers à droite et ceux des garçons à gauche. Le couvre feu est à 22h tachaient de vous en souvenir. Voila je pense avoir tout dis. Vos affaires vous attendent dans vos chambre. Bonne nuit."

Le jeune homme avait prit un ton assez autoritaire pour bien se faire comprendre et, evidement, pour se faire respecter ce qui était très important. Tandis que les élèves gagnés leur chambre Seiko, lui, sortit de la salle commune et alla voir si aucun élève de Serpentard ne trainaient dans les couloirs. C'est alors qu'il vit une jeune fille assise à même le sol dans le couloir menant à la grande salle. Le prefet de Serpentard s'approcha d'elle sans bruit et lui demanda:

"Puis je savoir ce que tu fais ici ? Ne devrais tu pas être dans ta salle commune ?"

Voilà au moins ¾ d’heure que la jeune fille était là dans se hall sans que personne ne viennent a son aide!
Elle eu donc un sursaut lorsqu’un jeune homme qui devait être de la même année qu’elle arriva a pas de velours derrière elle et demanda se qu’elle fit ici, alors elle prit un sourire pour enfin reprendre:

« En fait je viens d’arriver, je suis française et mon anglais n’est pas encore super et je me suis perdue, je n’ai pu suivre les autres élèves de ma maison »

Puis elle lui tendit sa main pour ensuite se présenter:

« Au fait je m’appelle Calaïs, Calaïs Andromaque, 6eme année a Poufsouffle »

La jeune française regarda le jeune homme apparemment lui aussi était étranger, c’était ses yeux bridés et son teint exotique qui lui confirmé son opinion, il devait donc comprendre sa situation.
La jeune Calaïs le regarda mais ne vit pas du tout l’insigne de préfet de serpentard qui arborait fièrement sur son torse bombé.
Enfin la jeune fille reprit:

« Voilà bientôt ¾ d’heure que j’attend sur ses froides marches, sans que personnes ne viennent vers moi »

Puis elle baissa la tête et vit l’insigne mais cela ne changea rien au propos de la jeune fille, c’était donc un serpentard, cette maison n’avait pas bonne réputation mais qui sait il y avait sûrement de bonnes personnes dans cette maison, c’était comme dans toute maisons, il y a les bons et les méchants, d’ailleurs la jeune fille était très tolérante et était persuadé qu’on ne pouvait qualifier les gens par rapport a leur appartenance.

Silence. Seiko ecoutait attentivement les quelques paroles de la jeune femme qui ne cessait de lui sourire. Quand à lui, son visage n'exprimait rien, aucun sentiement quelconque aussi minime soit il. Ses yeux couleur ecaille de serpent ( peu ordinaire c'est certain ) étaient plongés dans ceux de la jeune femme perdue. Alors comme ça celle ci était française et ne connaissait qu'un strict minimum en matière d'anglais. Il est vrai que fasse à ce genre de problème il n'y avait pratiquement pas de solution mais bon elle aurait pu quand même suivre les élèves qui était assis à sa table au banquet. Ne voulant pas apporter son grain de sel à la situation, le jeune homme se contenta d'acquieçer d'un bref signe de tête. Il regarda ensuite la main que lui tendit Calaïs, un peu mefiant. Puis par politesse, celui ci se decida à tendre la sienne à son tour. Froide, voila l'adjectif qui qualifiait le mieux cette poignet de main. Il faut dire que la chaleur n'était pas vraiment au rendez vous bien qu'ils soient à l'intérieur du chateau.

"Seiko Sama, prefet et 6eme année à Serpentard."

Avant que Seik' n'ai pu prononcer d'autres paroles, la jeune élève de Poufsouffle lui expliqua la situation dans laquelle elle se trouvait depuis trois quart d'heure maintenant. En temps normal le jeune homme aurait sûrement ignoré les problemes de Calaïs mais maintenant qu'il était devenu préfet il se devait d'aider les élèves en difficulté et faire regner l'ordre au sein des Serpentards. Le jeune coréen fit mine de reflechir un instant puis il prit la parole:

"Je peux te raccompagner à ta salle commnune si tu le souhaites. Néanmois cela ne servirait à rien étant donné que ni moi ni toi ne connaissons le mot de passe de ta salle commune car les prefets le divulguent à tout les élèves une fois à l'intérieur des salles communes après le banquet de debut d'année. Je ne vois qu'une solution: aller voir ton directeur de maison Mr McMahon. Je peux te conduire à son bureau si tu veux. "

La jeune fille tressaillit lorsqu’elle salua le jeune serpentard, la froideur qui s’échappa de cette homme la laissait perplexe mais elle ravala son jugement lorsqu’il lui proposa son aide. La jeune française fut alors plutôt embarrassée car entre attendre encore plusieurs heures ici ou bien se faire déjà remarquer par le directeur de maison, il devait sûrement être gentil mais tout de même…
Calaïs continua de sourire puis reprit d’une voix simple:

« c’est très gentil de m’aider, je veux bien que tu me conduise jusqu’à ma salle commune et puis s’attendrait bien quelques minutes de plus, il y aura bien quelques élèves qui sortiront »

Son choix était donc fait, elle ne voulait pas avoir a faire aux autorités pour une première, elle attendrait le temps qu’il faudra mais elle ne voulait pas spécialement rencontré le directeur des poufsouffle, un soir de banquet, a une heure si tardive. Elle espérait enfin que le préfet qui s’était montrer des plus coopératif comprendrait sa décision et l’accompagnerait jusqu’à la salle commune.
Elle s’arrêta quelques instants pour regarder le jeune homme qui se dressait devant elle. Elle continua de sourire: d’un sourire radieux et lumineux. Le jeune homme était apparemment un mystérieux, du moins c’est ce qu’il dégageait, ses yeux d’une originalité et d’une beauté certaine était toujours fixé sur elle. Mais a son tour la jeune Calaïs plongea ses yeux azurs dans le regard du serpentard avant de frissonner.
L’instant d’après la jeune fille posa son regard sur sa montre a gousset. Le temps avait tout de même passer plutôt vite enfin elle reprit d’une voix douce en essayant de commencer une conversation normale avec le jeune homme:

« As-tu toujours était a Poudlard? »

Il est vrai que le jeune Seiko n’avait pas l’air d’origine britannique: son teint et ses yeux lui confirmés cela!
Apparemment a Poudlard plein de nationalités se croisent, un vrai brassage de culture et de points de vue, la jeune Calaïs trouvait cela super, et vraiment intéressant, cela apprenait a tout un chacun d’être tolérant et d’ouvrir les yeux.

Etant assez patient, le jeune coréen attendit sagement que la jeune femme prenne une décision. Celle ci préféra qu'il l'accompagne jusqu'à sa salle commune pour qu'elle y attende le passage d'un Poufsouffle qui, avec un peu de chance, voudrait bien lui divulguer le mot de passe permettant l'accès à la salle commune.

"C'est toi qui vois." se contenta t'il de répondre à Calaïs.

Le jeune homme commenca à ouvrir la marche en direction de la salle commune des Poufsouffle qui se trouvait dans la plus haute tour ouest du chateau. Les deux protagonistes devront grimper de nombreux escaliers pour y parvenir mais cela ne dérangait guère le jeune homme. Ils traversèrent un corridor peu eclairé, de multiples tableaux se trouvaient sur les murs de celui ci et chaque élèments des peintures dormaient paisiblement. Seiko, se fichant un peu du sommeil de toutes ces personnes, sortit sa baguette de sa poche et prononca distinctement:

"Lumos."

Une lueur blanchâtre s'échappa alors du bout de sa baguette éclairant ainsi le corridor. Tandis qu'ils marchaient tranquillement, Calaïs demanda à Seiko si s'était sa première année à Poudlard. Un petit sourir ironique se dessina sur les lèvres du jeune homme. Ce n'était pas la première fois qu'on lui posait cette question. Mais ce qui était "marrant" c'était qu'on lui posait cette question en rapport à sa physique. Sei' tourna la tête en direction de la jeune femme et plongea ses yeux en amande dans les siens.

"Non ce n'est pas ma première année ici. J'ai fais toute ma scolarité dans cette école. Toi je supposes que c'est ta première année non ?"

La douce Calaïs réalisa avec plaisir que le jeune serpentard accepta sa proposition et ainsi de la conduire jusqu’à son dortoir.
Comme il commençait a se faire tard le préfet prononça le sortilège Lumos qui a pour but de tout éclairer.
Même les tableaux surpris faisaient des grimaces et bougonner a leur passage.
La poufsouffle profita de cette nouvelle lumière pour observer le jeune asiatique. Il était beau et avait des traits fins et plus elle le regardait plus la jeune fille se sentait bête et laide.
Mais elle essaya de chasser ses pensées pour enfin répondre d’une voix simple:

« Oui, c’est ma première année a Poudlard avant a Beauxbatons … »

Puis ils continuèrent de marcher l’un a coté de l’autre. Seul leur pas trahissait leur présence car les faibles échos de leur voix s’évanouissait dans les longs couloirs.
Ensuite elle passa sa main dans ses cheveux, doux et parfumé après elle dégrafa les deux premiers boutons de sa chemise blanche et moulante.
Calaïs espérait en fond d’elle même que le voyage ne durent pas trop, elle se sentirait trop stupide et puis elle ne savait pas trop sur quels pieds dansait avec se serpentard. Mais il fallait avouer que depuis leur connaissance il s’était montrer des plus patient et des plus courtois. La jeune poufsouffle pensa que se devait être un bon préfet et que peut-être n’était il pas comme les autres serpentard! Et que pour une fois en voilà un qui ne tenait pas la réputation.
Enfin elle ajouta détacher:

« Beauxbatons est une belle école mais la directrice est bien trop exigeante c’est agaçant a la fin… »

Elle ne su dire pourquoi elle se mettait a parler de son pays natal et de son ancienne école, cela devait ennuyer a mourir le jeune serpentard alors elle se risqua:

« Je suppose que tu n’est pas non plus d’origine britannique? »

Calaïs connaissait très peu l’Asie et cela ne lui aurait pas déplu d’entendre l’histoire de Seiko. Enfin elle continua de sourire, découvrant ses dents blanches de bambins

Sentant que le regard de la jeune Poufsouffle était posé sur lui, Seiko ne savait plus trop où se mettre. Le jeune homme se sentait très géné vis à vis de Calaïs, mais heureusement pour lui, cela ne pouvait pas se lire sur son visage pâle. Mais une question persistait dans son jeune esprit: devait il ignorer ses coups d'oeil ou bien devait il y préter attention ? Ne sachant que faire, Seiko passa une main dans ses cheveux blonds pour y mettre un peu de désordre, comme toujours. Sa coiffure faisait parti de sa personnalité et elle le reflétait assez.

"Beauxbaton ? Ce ne serait pas par hasard la célèbre école française ? Celle qui participe au tournoi des trois sorciers ?"

Le jeune homme ne connaissait pas vraiment cette école mais il éspérait que ce qu'il venait de dire était vrai sinon il aurait l'air vraiment ridicule, ce qui lui déplairait fortement.
Tandis que les deux élèves traversaient les corridors qui les séparaient de la salle commune de Poufsouffle, Calaïs passa une main dans ses cheveux soyeux puis elle dégrafa les deux premiers boutons de sa chemise blanche qui la mettait assez en valeur il faut dire. Le jeune homme ne put s'empecher de jeter un bref coup d'oeil sur elle à ce moment la mais celui ci ne fut pas très discret... Ah la la les reflexes masculins je vous jure...
Essayant de penser à autre chose, Seiko ranga sa baguette puis commenca à monter les marches des escaliers qui se dressaient devant lui tandis que Calaïs lui parlait de son ancienne école. Ne sachant pas vraiment quoi lui répondre, Seiko préféra garder le silence. Mais celui ci fut de courte durée car la jeune Poufsouffle lui demanda s'il était d'origine britannique. Celui ci ne put s'empecher de sourire avan de lui répondre:

"Et bien oui en effet comme tu l'as remarqué je ne suis pas d'origine britannique. Qui cela pourrait 'il bien étonner ? En fait je suis originaire de Corée du Sud, un très beau pays." finit il par dire.

Les deux élèves marchaient calmement dans les longs couloirs de Poudlard. Lorsque la jeune fille dégrafa un bouton de sa chemise elle sentit le regard du jeune serpentard se posait sur elle. Elle ne su comment trop réagir entre frustration et plaisir elle laissa le silence l’emportait. Ils continuèrent de marcher l’un a coté de l’autre puis Seiko prit la parole alors elle répondit:

« Et oui Beauxbatons école de magie française participant au tournois des trois sorciers! Tu as raison! »

Puis de nouveau un silence s’installa,. L’ivresse du labyrinthe des couloirs semblait traverser la jeune Calaïs. Malgré la chaleur ambiante a la jeune fille sans qu’elle ne sache pourquoi eu un frisson: au carrefour entre deux passages une drôle de sensations s’empara d’elle…Ce n’était pas spécialement une sensations désagréable non, elle n’aurait pu l’expliquer.
Elle chassa ensuite c’est drôle d’idées quand le préfet répondit positivement a sa dernière question et lui expliqua qu’il venait de la Corée du Nord.
Elle fut très surprise car même si elle connaissait ce pays jamais elle n’eu entendu l’existence d’un monde magique dans cette partie du monde enfin tout en souriant la belle poufsouffle reprit:

« La Corée du Nord… ça doit être magnifique sans aucun doute! Mais il n’y a pas d’écoles magiques en Corée non? »

La promenade nocturne s’éternisait sans que cela ne déplaise a la jeune fille. Bizarrement le sentiment de fatigue qui envahissait tout le monde après le banquet s’était évanoui et laissé place a un sentiment d’empathie avec le jeune homme.
Leur marche soulevait légèrement les doux cheveux de la jeune Calaïs comme un vent d’été.
Enfin la jeune française reprit:

« Retourne-tu souvent en Corée? »

Elle espéra que sa question ne réveille pas trop de souvenirs douloureux…

Tendis que les deux jeunes élèves grimpaient les escaliers qui se trouvaient sur leur chemin, un se mit à bouger sans raison vraiment valable. Il était bien connu que ceux ci n'en faisaient qu'à leur tête dès que les élèves les empreintaient. Mais apparement la jeune Calaïs n'était pas au courant ce cela étant donné que c'était sa première année à Poudlard. Elle faillit trebucher pendant que l'esclaier changait de destination. Seiko, ayant des reflexes assez surprenant, tandis la main à la jeune Poufsouffle pour lui eviter une chute qui aurait pu être très douloureuse.

"On n'a pas du te prévenir à ce sujet mais je préfère te prévenir maintenant: les escaliers n'en font qu'à leurs têtes dans cette école. Ils ont pris la facheuse habitude de changer de direction lorsque des élèves les empreintent."

Le grincement du bois cessa lorsque l'escalier se mobilisa. Il n'était pas trop tôt pensa le jeune homme. Dieu sait où ils auraient pu atterir cette fois... Seiko reconnu ce couloir. Il s'agissait du 3eme étage de l'école. Par chance il connaissait le chemin à prendre pour aller dans la tour ouest. Le prefet traversa de nouveau de long corridor en compagnie de Calaïs. Ceux ci étaient eclairés seulement à l'aide des bougies de candélabres et ds torches acrochées aux murs. Bien sûr cela ne suffisait pas pour tout éclairer mais c'était mieux que rien.

« La Corée du Nord… ça doit être magnifique sans aucun doute! Mais il n’y a pas d’écoles magiques en Corée non? »

"Non il n'y a pas d'école de magie là bas. Mais parents, après avoir hesité entre Durmstrang et Poudlard, m'ont finalement inscrit ici."

C'était la première fois que Seiko parlait de cela avec des élèves n'appartenant pas à sa maison. Lui en général si froid et peu sociable, parlait facilement avec cette jeune femme. Etrange... Mais Seiko ne chercha aucune explication à cela.

« Retourne-tu souvent en Corée? »

"Non je n'y suis pas retourné depuis maintenant 5 ans. Mais parents ont décidé de demenager ici pour que je puisse suivre mes études tout en étant près d'eux tu vois. Et toi, la France ne te manque pas trop ?"

Les deux amis grimpaient un nombre incalculable de marches qui formaient un magnifique escalier en bois noir. Soudain celui ci ce mit a trembler, puis s’anima pour enfin changer de positions. Surprise la jeune Calaïs se demanda qu’elle étrange magie pouvait habiter ces escaliers. Mais elle en fut si surprise qu’elle ne pu définir son équilibre très longtemps heureusement le beau Seiko tendit une main secourable vers la poufsouffle qui s’empressa de s’agripper.
Une fois l’escalier immobile et une stabilité retrouvait elle s’apprêta a remercier le jeune homme et a lui demander qu’elle était cet étrange phénomène mais le séduisant serpentard donna rapidement une explication. Apparemment ces escaliers était ensorcelés et n’en faisaient qu’a leur tête. Alors elle reprit son sourire et ajouta:

« Ah d’accord je comprend mieux, je me méfierais la prochaine fois! En tout cas merci; sans toi j’aurais débouler les escaliers jusque dans le hall! »

Calaïs jeta un rapide coup d’œil autour d’elle, bien évidement il avait changer de direction et était maintenant a l’opposer de leur chemin mais elle avait pleine confiance en Seiko qui devait connaître Poudlard comme sa poche.
Ils continuèrent de marcher lorsque le préfet lui raconta qu’effectivement aucune école n’existait en Asie et que voilà bientôt 5 ans que le pauvre n’avait revu sa contrée.
Calaïs se dit que se devait être affreux, déjà que voilà si peu de temps qu’elle avait quitter son pays qu’elle était déjà en manque. Le jeune Seiko lui demanda ensuite si justement la France lui manquait. La réponse ne pouvait être que positive mais elle essaya de prendre un ton détaché pour répondre:

« Oui bien sur que la France me manque, mais que veux tu lorsque ne peut rentrer dans le moule on n’a pas le choix! »

En effet l’expatriation de la jeune française venait du faite que Beauxbatons avait eu peur pour sa superbe et célèbre réputation.
Calaïs bien que d’un caractère gentil et stable n’avait jamais pu rentrer dans le moule de l’école, elle n’avait jamais été la petite élève modèle et disciplinée qui adorait les sciences et la littéralement ainsi que les matières dites importantes de l’enseignement magique. Non la poufsouffle avait toujours été plus au moins rêveuse, elle adorait la nature et les choses simples. Elle n’avait jamais été une des ses filles sophistiqués qui font des caprices. Les ambitions qu’avait Beauxbatons pour ses filles n’avait jamais été du goût de la jeune femme.
La plupart des élèves projeté des carrières faites de bureau, d’élégance et de politesse infondé mais Calaïs n’avait jamais rêvé que de sorties, de fraîcheur et de nature.

"Tu n'as pas à me remercier Calaïs c'est normal." se contenta de répondre le jeune homme avec un regard de braise.

Un silence étrange et pesant régnait alors dans les corridors du troisième étage. Celui ci paraissait impreturbable et maitre de ces lieux, ou du moins pendant la nuit car cela était impropable durant la journée vu le brouaha que pouvaient faire certains élèves.
Tandis que ces petites pensées flottaient dans l'esprit du jeune homme sans but veritable, une voix rocailleuse et peu aimable s'éleva soudain derrière les deux élèves. Le coréen fit volte face et reconnut aussitôt le propriétaire de cette voix singulière. Il s'agissait bien sûr du chevalier. Le fameux chevalier qui se balade de tableaux en tableaux à la reherche d'élève à provoquer en duel ou bien parfois il se contentait de les insulter. En clair il s'agissait là du personnage de tableau le moins apprécié de l'école.

"Halte qui va la ?!"
"Je suis Seiko Sama, le prefet de Serpentard. Tu dois te souvenir de moi non ?"
"Morbleu bien sûr que je me souviens de vous petit délinqant. Que faites vous avec la damoiselle dans les couloirs à cette heure ci ?"
"Je la raccompagne cette charmante demoiselle à sa salle commune que cela te deranges ou non. Viens allons y Calaïs ne prete pas attention à lui il n'en vaut pas la peine crois moi?"

Le jeune Serpentard sourit à la jeune femme et lui fit un signe de tête qui voulait dire "suis moi". Tandis qu'ils s'éloignaient tout deux du tableau du chevalier, on pouvait entendre celui ci jurait à l'égard de Seiko. Ces dernières paroles ne lui avaient pas vraiment plus on dirait. Il ne put s'empecher de rire devant cela. Il était rare que le jeune homme rit ainsi, d'ailleurs le peu d'amis qu'il possédait ne le voient jamais rire.

"Excuse le chevalier Calaïs il a toujours été comme ça du moins depuis que je suis ici. Il peut parraitre bizarre c'est vrai mais il faut dire qu'il est vraiment des fois bien qu'il ne le fasse pas vraiment exprès."

Après le « phénomène escaliers » les deux élèves de sixième année empruntèrent un somptueux couloirs, il était bien éclairé et Calaïs pouvait admirer a sa guise les magnifique tableaux. Parfois le regard de la française se perdait a observer le charmant serpentard.
Ils marchaient tranquillement lorsqu’une forte de voix s’éleva et glaça le silence. Calaïs ne pu s’empêcher de s’arrêter puis de se retourner. Elle fut soulagée pendant un instant que ce ne fut pas un professeur ou le concierge. La voix s’élevait en effet d’un tableau. La jeune poufsouffle plissa ses yeux maquillés pour observer le tableau: on pouvait voir sur la toile un grand et fort chevalier a l’air renfrogné. Apparemment Seiko connaissait se chevalier, et ils ne s’aimaient pas beaucoup car le chevalier provoqua Seiko. A la grande surprise de Calaïs le beau serpentard réagis avec une grande distance hors du commun pour un élève de cette maison. Voyant que ce chevalier n’était qu’inoffensif: un vieillard dans son armure insultant les élèves pour user les rancœurs du passé, et voyant que Seiko lui demanda de le suivre sans faire attention, elle reprit sa marche au cotés du charmant serpentard qui a présent riait. Le préfet lui avait lancer une réplique qui avait plu a Calaïs part sa repartie.
Lors de cette rencontre avec le chevalier elle avait perdu quelques peu son sourire qui illuminait son visage mais bientôt il furent loin alors Calaïs brisa le silence:

« Et bien quel drôle de personnage ce chevalier, apparemment c’est un ami a toi non? »

Son ton était plus qu’ironique, elle trouvait ça plutôt marrant qu’un personnage fait d’eau et de peinture puisse venir provoquer des élèves qui était a tout point de vue plus fort que lui; mais enfin elle se demanda se qu’il pouvait avoir dans la tête…heureusement tout les tableaux n’était pas comme lui!
Enfin ils continuèrent leur promenades en binôme, le silence gênant c’était de nouveau installait entre les deux élèves mais bientôt la jeune Calaïs ajouta:

« Parle moi un peu de toi Seiko »

Ses paroles n’étaient pas réfléchis mais le mystère qui entourait le jeune homme lui donnait irrémédiablement un caractère attirant, en faite elle crevé d’envie d’en savoir plus sur ce serpentard.

"Un ami à moi ? Hum pas vraiment non. En fait, depuis mon arrivée dans cette école, je n'ai fais que l'embeter à chaque fois que je le croisait. J'étais un jeune Serpentard tu comprends et chaque fois que je pouvais lui nuire et bien je ne m'emprivé pas. Avec tout ce que je lui es fait subir je ne pense pas qu'il puisse m'oublier si facilement." dit il en rigolant.

En y repensant, c'est vrai que Seiko avait été un peu dur pendant quatre bonnes années. Combien de fois avait il préparé des attaques suprises contre le chevalier avec ses amis de Serpentard ? Et combien de fois avait il du trouver refuge dans la salle sur demande pour echapper au concierge ou à un membre du corps professoral ? Ah la la le passé du jeune homme n'était pas rose. Mais bon il ne regrettait pas vraiment ses actions passées. Et puis c'est en faisant des erreurs que l'on progresse.
Le jeune homme jetta un nouveau regard en direction de Calaïs. Il fallait l'avouer cette jeune femme était vraiment très belle, rien chez elle ne déplaisait au jeune homme.
Celle ci le sortit brusquement de sa rêverie en lui demandant de parler de lui. Parler de lui... Voila quelque chose d'assez difficile... Que pouvait il dire à son propre sujet ? Qu'entendez elle par "parle moi de toi" ? Devait il parler de son passé ou alors de son caractère ? Le jeune homme opta plutôt pour le deuxième choix.

"C'est demandait si gentiement." dit il avec un sourire charmeur "Et bien que puis je te dire à mon sujet ?... Je suis un homme qui s'efforce à ne pas être comme les autres c'est d'ailleurs peu être pour ça que je reste la plupart du temps seul. J'ai developper un style vestimentaire qui mes propre, je veux être unique vois tu ? Mais ma différence des autres a créé une sorte de barrière entre eux et moi je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire. J'ai donc peu d'amis mais cela ne me gène pas et puis la solitude ne me dérange nullement bien au contraire." ne sachant plus quoi dire, le jeune homme préféra retourner la question à la jeune Poufsouffle."Et toi, parle moi un peu de toi."

Ils venaient de tourner dans un autre couloir plus faiblement éclairé lorsque Seiko lui énonça les petites chamailleries avec le chevalier. Puis il répondit a sa question apparemment le mystère qui l’entourait venait de cette solitude qu’il savait si bien cultivé. Peut-être était-ce si caractère si singulier qui le rendait si charmeur et si beau? Mais peut-être aussi se tromper elle en fin de compte ce n’était que la première fois qu’il se voyait. Elle écouta passionné le jeune serpentard se racontait puis elle laissa de nouveau le silence se glisser. Après quelques pas et quelques minutes elle reprit:

« Comme on dit vaut mieux être seul que mal accompagnés,L'autre est différent, certes. Il ne s'agit pas de nier cette différence, ou de prétendre l'oublier, mais d'en tirer parti. Car la vie se nourrit de différences; l'uniformité mène à la mort. »

Ensuite Seiko lui retourna la question et bien qu’elle n’aimait pas trop se dévoiler elle s’exécuta d’une voix chantante:

« Et bien je suis une femme qui est simple, qui n’aime pas les chichis. Je n’ai que très rarement des ennuis et je suis généralement calme…hum que dire de plus…j’ai pas mal de connaissances mais mes vrais amis se compte sur les doigts de la main… »

Elle s’arrêta ensuite ne sachant plus que dire. Soudain elle entendit un ricanement derrière elle, Calaïs se retourna mais ne vit rien et lorsqu’elle essaya de reprendre sa marche un fantôme ( Peeves) se tenait devant eux. Décidément les nuits dans se château étaient des plus agités. Apparemment les intentions de se fantôme n’était pas des plus réjouissante, il se tenait devant eux, les mains sur ses hanches transparentes. Précipitamment le fantôme se mit a parler en même temps que rire:

Ici c’est chez moi et interdiction de passé!

Le fantôme s’était visiblement appropriés ce morceau de couloir dans le seul but d’embeter les deux eleves. Calaïs ne savait pas trop quoi faire alors elle tourna la tete vers le préfet et lui fit un drole de regard.
Après un instant de silence la jeune française se ressaisit et prit une voix forte mais calme:

« Dit donc fantôme quel est donc se droit que vous prenez là? Le château n’a t’il pas qu’un seul maître? »

Puis de nouveau elle regarda Seiko pour voir sa réaction et si il pouvait nous sortir d’affaire.

« Comme on dit vaut mieux être seul que mal accompagnés,L'autre est différent, certes. Il ne s'agit pas de nier cette différence, ou de prétendre l'oublier, mais d'en tirer parti. Car la vie se nourrit de différences; l'uniformité mène à la mort. »

"Que de belles paroles. Je suis entièrement d'accord avec toi Calaïs."

Après avoir médité quelques instants sur les paroles censées et très interessantes que venait de prononcer la jeune femme, Seiko bifurqua à droite lorsqu'ils arrivèrent à un croisement. Après un court moment d'hesitation la jeune Poufsouffle se décida à lui parler un peu d'elle. Enfin une jeune femme qui ne se prenait pas la peine pour si peu, cela devenait rare de nos jours... De plus tout les deux partagaient un point commun: ils n'avaient que très peu d'amis. Pourquoi en était il ainsi pour la jeune femme ? Ca il n'en avait aucune idée. Or lorsqu'il voulut lui demander la raison de cette chose voila que Peeves, l'esprit frappeur le plus sournois de cette école vint à leur rencontre.

Décidemment Calaïs et Seiko auront passé une soirée plutôt mouvementée... La jeune femme devait se demander dans quelle école elle avait atteri entre ces escaliers qui ne cessent de changer de direction, ces personnages de tableaux qui vous interpellent lorsque vous marchez tranquillement dans les couloirs ou bien ces fantomes ou plutôt esprit frappeur qui viennent vous embeter dès qu'ils le peuvent. Celle ci lui lança un regard dubatatif, comme si elle ne savait quoi répondre à Peeves. Cependant après un moment de silence celle ci lui rétorqua qu'il n'avait aucun droit de propriété sur ce couloir. Elle regarda Seiko de nouveau comme si elle avait besoin de son aide face à l'esprit frappeur. Le jeune homme lança un regard noir à celui ci puis lui dit avec un sourire narquois au coin des lèvres:

"Ce n'est pas la première fois que je te vois embeter des élèves Peeves. Je me suis toujours garder de te dénoncer à la Directrice mais si tu nous fais une de tes blagues ,peu amusante à vrai dire, je te dénonce sur le champ. Et ne crois pas que parceque tu es un fantome qu'on ne peut te virer de cette école. Bien au contraire."

A peine la française eu terminer sa phrase que le fantôme dont elle ignorait toujours le nom lui répondit en ricanant:

Est ce en mon sol, que quelconque sournois dans votre genre m’importune?

Lorsque Calaïs regarda Seiko, il lui vint en aide et renvoya quelques répliques savamment choisies. La dénonciation et le chantage était donc a l’œuvre ici mais cela pour la bonne cause. L’esprit frappeur n’eu pas donc d’autres choix: il du s’enfuir en grommelant quelques insultes proliférant.
Cela aussi la faisait plutôt sourire car apparemment se fantôme était la terreur des élèves mais s’enfuyait devant une phrase bien placée. Décidément le courage de ses personnages n’étaient que limité et cela égaya Calaïs.
Enfin quand l’esprit fut loin elle reprit:

« Et bien quel était donc ce fantôme? C’est un bien vile personnage! »

Elle fit une pause, elle regarda de nouveau le préfet et cette fois-ci leur regard se croisèrent. La jeune poufsouffle plongea son regard azur dans les yeux pétillant de Seiko. L’espace d’une seconde le temps sembla s’arrêter mais la jeune française détourna la tête pour enfin reprendre:

« les nuits sont bien agitées a Poudlard! »

Enfin ils continuèrent pendant plusieurs longues minutes lorsqu’ils arrivèrent a quelques centaines de mètres de la salle commune. Ce premier voyage nocturne lui avait paru bien long mais en charmante compagnie qui lui avait fait passer son sommeil et sa fatigue. La jeune Calaïs continuait toujours de sourire, des dents d’une blancheur reflétait les faibles lueurs des bougies.

Satisfait de lui même, Seiko regarda le l'esprit frappeur s'en allait en grommelant des insultes à son sujet. Mais cela ne touchait nullement le jeune homme car ça ne vallait pas la peine d'écouter les paroles peu intelligentes que pouvait proférer Peeves.

"Oh ce fantôme n'est autre que l'esprit frappeur de cette école. Son nom est Peeves. Il passe son temps à jouer des tours aux élèves et à les embeter dès qu'il le peut. Il n'est vraiment dangereux mais parfois il se met à lançer des meuble sur les élèves. Dans ces cas il n'y a qu'une seule chose à faire: s'enfuir le plus vite possible pour ne pas se faire assomer. Tu n'as pas à avoir peur de lui crois moi."

Le jeune homme lança à Calaïs un sourire qui se voulait reconfortant tandis que leurs yeux se cherchaient d'une façon assez discrete. Les yeux de la jeune Poufsouffle pétillait d'une joie de vivre intense. Un regard aussi magnifique que celui ci était assez rare de nos jours.

"Oui c'est vrai mais logiquement nous ne sommes pas censés trainer dans les couloirs à cette heure ci et donc pas censé le savoir." dit il avec un sourire.

Ayant répondu à la question de la jeune femme, Seiko se remit en marche, Calaïs étant toujours à ses côtés. Après cinq bonnes minutes de marche silencieuse dans les couloirs de l'école, le préfet de Serpentard repéra devant lui la salle commune de Poufsouffle. Les voila arrivé à destination après avoir vecut de nombreux periples en cette soirée de rentré scolaire. Arrivé devant un tableau représentant une noble dame en robe de soie bleu qui dissimilé l'entrée de la salle commune, Seiko se retourna vers Calaïs et lui annonca:

"Voici enfin ta salle commune. Malheureusement je ne peux rien faire de plus pour toi... Mis à part attendre le passage d'un élève de ta maison mais c'est comme tu veux." dit il un peu géné.

Les jeunes élèves marchèrent encore pendant quelques minutes. Calaïs elle, cherchait le regard protecteur du préfet en l’écoutant.
Enfin ils arrivèrent devant la salle commune puis elle lui souria tendrement. Il avait déjà fait beaucoup et il voulait encore attendre, gênée la jeune fille refusa a contre cœur:

« Je crois que tu m’a déjà beaucoup aidé pour se soir! Je ne veux pas t’embêter plus…j’espère néanmoins que nous nous reverrons très bientôt. »

Sans savoir pourquoi son cœur avait battu plus fort a ce moment. Elle semblait ailleurs….Calaïs était a présente en face de lui et plongeait ses yeux azurs dans le regard flamboyant de Seiko. Bizarrement les deux êtres s’étaient rapprochés.
Elle espéra qu’il le prenne bien et qu’un élève sortirait bientôt pour lui laisser la voix livre.
Ensuite elle reprit:

« De toute façon nous devons avoir beaucoup de cours en commun, nous pourrons nous revoir très bientôt a mon avis! »

Ses paroles étaient sincère et elle espérait qu’elle soit réciproque et qu’il ai envie de la revoir.

[hj: dsl pour ce post ridicule...]

[hj: C'est pas grave ne t'inquietes pas :blush:

]

Seiko était vraiment deçu que la jeune femme n'ai pas accepté son aide mais il comprennait parfaitement. Elle devait sûrement se dire qu'il l'avait déjà assez bien aidé pour la soirée et qu'il avait droit à un peu de repos. Essayant de répondre avec un air décontracté, le jeune homme lui répondit tout en mettant les mains dans ses poches:

"Euh d'accord il n'y a aucun problème. J'espere que tu ne seras pas obligée de passer la nuit dans ce couloir sombre et froid sinon je m'en voudrais terriblement..."

Le jeune homme s'en voulait un peu de la laisser la, seule dans ce corridor, mais il ne voulait pas s'imposer après tout elle en avait décidé ainsi alors il n'allait pas la contredire. Le jeune Serpentard se demandait si celle ci aimerait qu'il se revoit. Un sourire illumina son visage pâle lorsque celle ci lui annonça qu'elle espérait le revoir bientôt. Sans brusquerie, Seiko s'approcha un peu plus de Calaïs, posa l'une de ses mains sur sa joue froide. Il posa son regard dans le sien puis lui dit calmement, tandis qu'il caressait sa joue à l'aide de son pouce:

"A bientôt Calaïs."

Tandis que ces quelques paroles résonnaient dans le couloir, le jeune homme s'éloigna lentement de la jeune Poufsouffle puis disparu dans l'ombre...

Seiko ne fut pas tellement contrarié mais il lui avait tout de même dit clairement qu’il s’en voudrait si elle devait attendre toute la nuit ici. La jeune fille ne s’inquiéter pas comme ça, elle savait que quelqu’un en entendant des voix viendrait voir.
Ensuite sans qu’elle ne comprenne pourquoi le jeune serpentard s’approcha d’elle. Sans brusquerie il posa sa main sur sa joue, son cœur tambourinait comme un dingue dans son carquois de solitude.
La jeune Calaïs était au ange, si tôt était elle arrivée qu’elle avait déjà rencontrer un garçon plutôt génial!
Elle lui souria gentiment puis simplement il lui répondit

« A bientôt Calaïs »

Elle aurait voulu lui répondre mais ses cordes vocales refusées d’obéir, et elle resta muette en regardant le serpentard partir.
Sûrement qu’elle allait le revoir mais que ferait il? L’ignorer, lui parler, elle n’en savait rien et ne voulait pas y pensé.
Elle était juste bien, un contentement sourd et sans artifice; juste le délice d’un instant; une bribes de mots; le son de sa voix.
Calaïs resta de longues minutes a rêvassé puis elle regarda la grosse dame qui gardait l’entrée, elle semblait dormir mais elle lui demanda quand même:

« Dit je suis de cette maison et je ne sais pas le mot de passe, voudrait tu me laisser passer s’il te plait? »

La grosse dame la dévisagea et se retourna sans rien dire, la jeune préfete dépité alla s’asseoir au pieds du tableau.
Au moment où ses fesses allait se poser; le tableau pivota et une tête d’un camarade poufsouffle sortit.
Elle le remercia et lui fit un grand sourire.
La jeune préfete pu rentrer dans son lit chaud et s’évanouir au songes de la vie.