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 Je suis la sueur froide de Jack.

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Laureline Wilde
Préfète, 7ème année à Serpentard
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Laureline Wilde


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MessageSujet: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyLun 18 Juin - 20:04

HRP – Premier post réservé, mais si quelqu'un veut se joindre à nous, aucuns problèmes.


Fatalité – Les choses qu'on possède finissent par nous posséder.
Ryan – Qu'est ce que t'as dis Low ?
Fatalité – Rien.

Elle se redressa, se levant de sa chaise sur laquelle elle avait posé ses fesses durant deux longues heures. Un temps inestimable. Elle n'aimait pas ces cours de merde où on avait l'impression de voir s'écouler toute notre vie tellement c'était long. La Serpentard mit son livre, ses bouts de parchemins, sa plume, son ancre et tout le reste dans son sac en vitesse. Elle mit sa bandoulière sur son épaule gauche et tourna les talons laissant son ex-petit ami seul, sans personne. Pas qu'il la soûlait, enfin si, un peu. Puis elle en avait marre d'être la petite fille sage qui écoutait sans arrêt les autres se plaindre. Même si c'était ses potes, elle les enverrait se faire foutre, sauf si la raison est valable. Laissant les plantes de la serre, la préfète traversa les Jardins tout en pensant à dire « Adieu » au cours de botanique jusqu'à la semaine prochaine. De toute façon, là, c'était la pause repas. Ce que ça pouvait être chiant. Elle n'avait jamais faim le midi, mais si elle n'y allait pas, Kae allait encore lui faire une scène. Genre elle était trop mince, elle avait pas de formes. Patati, patata. Et puis merde, elle n'allait pas se laisser prier.

Elle attendit que tout le monde se casse, qu'elle se retrouve seule. Dès que tous les élèves furent à l'intérieur, elle prit la direction opposée qui menait à la Forêt Interdite. Non, elle n'allait pas s'y rendre, pas en pleine journée, ça en retirait la « MAGIE ». En plus, elle avait eut son compte de plantes magique pour la journée, faire une Jungle n'était pas dans ses objectifs, loin de là cette idée. Elle s'enfonça d'avantage dans les Jardins, passant une nouvelle fois devant les serres, pour ensuite dépasser la cabane du Garde Chasse. En y repensant, il ressemblait beaucoup à Raven, Laureline s'était même surprise en train de les confondre une fois. Heureusement, elle fut vite revenue à la réalité. Elle longea la Forêt durant de longues minutes qui semblaient infini. Ses mains touchaient le feuillages des arbres sec. Les fleurs ne germaient pas bien qu'on soit au Printemps. C'était les lieux qui étaient comme ça. Puis elle le vit. Le Stade de Quidditch. Elle n'avait jamais aimé cet endroit, jamais. A vrai dire, elle haïssait ce sport, bien qu'elle fasse partie de l'équipe de Quidditch. Mais elle s'était fixée un but, et la seule façon de partir de Poudlard lorsque les passages secrets sont hors d'usages, c'est bien entendus le vol. Elle n'avait pas le vertige mais trouvait que cette pratique n'était pas confortable et que ça ruinait le rêve « Peter Pan. » Laureline marcha, entra par les tribunes et descendit jusqu'à sentir l'herbe frôler ses chevilles. Elle éprouvait presque du dégoût pour la tenue qu'elle portait. L'uniforme de Poudlard n'était pas très beau, pas du tout même. Tout noir, aucun style propre. Elle cisailla. L'adolescente mordilla sa lèvre inférieure puis avança jusqu'aux Vestiaires où elle prit un Balais. Elle sortit de nouveau, fit le rituel du « Debout », et se sentit s'envoler dans les airs. Elle tremblait, n'était pas très stable mais faisait ce qu'elle pouvait. Chloé était plus douée qu'elle. Peut être qu'elle devrait lui donner plusieurs cours. La vengeance narquoise de Jack. C'était ça, le hic.


Fatalité – T'obéis, putain !

Elle tenait fermement le manche et tentait de voler jusqu'aux buts. Elle n'avait pas de souaffle, de toute façon elle était Gardienne. Elle avait quelques difficultés mais avait promis à Kae de devenir plus forte pour le prochain match. Tout pour la victoire des blasons vert. Et tout sauf se prendre la honte. Elle arriva en silence, Laureline était déjà beaucoup plus à l'aise, même si sa peur s'en voyait réduite. Elle s'appuya contre l'un des trois cercle et lâcha son balais pour prendre place sur l'un d'eux. Légèrement recourbée, elle redressa une de ses jambes alors qu'une pendait dans le vide. Elle prit son paquet de cigarette plein et le dénuda en toute vitesse pour en porter une à ses lèvres qu'elle ne tarda pas d'allumer. Elle tira une latte puis ferma les yeux.

C’est votre vie et elle s’achève à chaque minute.
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July Edwards
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyMar 19 Juin - 4:05

BOUM. July qui était en plein rêve était a présent sur le paquet glacé de son dortoir. Grognant légèrement, elle tira à l’aide de sa main droit son oreiller puis elle le positionna sous sa tête avec délicatesse. Le silence était sourd, et la Serpentard se concentrait sur ce rêve agité qu’elle venait de faire, tellement agité même qu’elle avait finit par tombée de son lit. Elle ferma ses yeux laissant ses iris verts disparaître en l’espace d’une fraction de seconde. Elle voyait l’Italie, son pays, elle l’aimait tellement, toute son enfance était la bas… Nostalgie. Elle repensait au moindre détail, elle se revoyait elle, sa mère et sa sœur aînée, prendre l’avion, son père qui mettait tout en œuvre pour ne pas les laisser partir… L’île sicilienne, c’était la bas qu’elle avait envie de se trouvée, et non pas de ce dortoir de merde, cette vie de merde. Elle en avait plus qu’assez, de sa sœur qui ne foutait rien et qui inquiétait sa mère, elle en voulait également sa mère de constamment se reposée sur ses épaules. Sa vie avait été gâchée par cet homme qui était son père. Soupirs. Haine, et tristesse se mélangeait dans l’expression de son visage. Elle n’avait plus envie de rien, et aujourd’hui elle n’irait pas en cours, sinon elle sentait déjà les regards inquiets de sa meilleure amie Yume se posées sur elle, et ses questions fusées dans les oreilles de la jeune Edwards. Elle n’avait pas le cœur a supporter tout ça, elle risquerait de craquée, et elle avait envie de tout exceptée de cela. July est une fille très sensible, malgré qu’elle soit a Serpentard, et lorsqu’elle va mal comme aujourd’hui la moindre petite chose peut la faire pleure c’est pour cela que la Serpentard s’isole dans des moments pareils, et le meilleur endroit est le terrain de Quidditch, quand il n’y a pas d’entraînements, il n’y a jamais personne la bas. Et puis ses amies ne sèchent jamais les cœurs, ou très rarement et quand c’est le cas ils ne vont jamais la bas, c’est un peu son jardin secret. Se mettra à des mètres de hauteur, sentir qu’on quitte un peu la Terre, et ses soucis en même temps. Voler et oublier ses soucis, ne serait ce que quelques heures.

Toujours allongées par terre, July ouvrit de nouveau les yeux, et elle vit à travers la fenêtre de son dortoir, les premiers rayons de soleil apparaître. Elle ignorait l’heure qu’il était mais les autres n’allaient sûrement pas tarder à se réveiller, et elle ne voulait voir personne. July avait toujours eu ce problème, être beaucoup trop réaliste, ne plus rêver depuis bien longtemps, c’est bien pour ça que ses amis la surnommaient « Reality » d’ailleurs. Pieds nus, une chemise beaucoup trop grande pour elle, qui lui faisait office de pyjama, mes cheveux en bataille attachée en queue de cheval, tel était le look de la Serpentard. Se levant dans le silence le plus complet, elle saisit son oreiller de la main droit puis le repose sur son lit. Soupirs. Puis elle se dirige vers la salle de bain. Passant sous la douche rapidement, elle utilisa ensuite diverses sorts basique pour se sécher les cheveux et ses les attaches en une queue de cheval qui cette fois ci ressemblait a quelque chose. Puis elle se maquilla ce qui du lui prendre tout au plus dix bonnes minutes. Alors qu’elle finissait de s’habiller d’un slim et d’un tee shirt noir, écrit dessus « Reality » c’était Yume qui le lui avait offert pour son précédent anniversaire, et a chaque fois que la Serpentard avait un coup de blues elle le mettait. Enfilant ses vans a carreaux noirs et blancs, elle était en train de sortir de son dortoir se trouvant des les escaliers lorsqu’elle entendit des voix familière s’élever dans son dortoir.

Dream – « Kae, Low… Regardez July n’est pas là c’est étrange… »

Breathe – « Je ne sais pas… »

Fatalité – « Reality… Elle a peut être besoin d’être seule, en ce moment elle n’est plus la même vous ne trouvez pas… »

Dream – « Oui c’est vrai… C’est que l’anniversaire du jour ou elle a du quitter l’Italie approche… »


Trêve de bavardage, July ne désira pas en entendre davantage, elle partit en courant de la salle commune, ne parlant même pas un seul instant avec le tableau, elle parcourut les cachots qu’elle connaissait par cœur avec le temps, et partit dans la Grande salle. Prenant un jus d’orange, elle fila ensuite au terrain de Quidditch. S’enfermant dans un vestiaire, la jeune Serpentard, s’allongea sur un banc et tout comme ce matin lorsqu’elle fut réveillée par sa chute, elle se remit a penser a son rêve, mais en plus les paroles de sa meilleure amie résonnait dans sa tête. Le jour fatidique, celui qu’elle détestait le plus au monde, il allait arriver. July détestait être si sensible que ça, alors que ses amis eux, étaient si fort emotionellement, elle n’était pas comme eux, et pourtant au fond d’elle-même elle désirait réellement. Faire abstraction de tout ça, ne plus endurer la même déprime tous les ans a cette époque de l’année. Oui, elle le souhaitait, mais on n’a pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Et ça July l’a bien compris depuis bien longtemps. Continuant de penser, elle ne vit pas le temps passer, des heures entières avaient du s’écoulée, et alors qu’elle pensait sortir du vestiaire pour allée voler, elle entendit du bruit. Panique pour rien, ce n’était que le vent. La Serpentard s’empara alors d’un balais, un vieux de l’école de toute façon elle n’allait pas faire des prouesse, juste quitter la Terre ferme. Puis après avoir fait s’élever son balai, elle commença à voler. July adorait ça, c’était comme être un poisson dans l’eau, elle s’y sentait beaucoup mieux que sur Terre ou elle avait des fois l’impression d’étouffer.

Volant assez haut, elle ne remarqua pas la jeune femme qui en faisait de même, mais des qu’elle posa son regard sur celle, et qu’elle vit de quelle façon elle volait, elle reconnue aussitôt son amie Laureline. Qu’est ce qu’elle faisait la ? Elle ne pouvait pas savoir que July venait se réfugier ici, personne au monde ne le savait pas même sa meilleure amie. Reality. Le sort s’acharnait contre elle. Elle ne pouvait plus esquiver, Laureline l’avait sans doute vu également, elle redescendit alors de quelques mètres et vit son amie se poser sur un des trois cercles, et allumer une clope. Fumer qu’est ce qu’elle avait envie. Elle s’approcha alors encore un peu jusqu'à s’asseoir sur un cercle voisin, tournant ensuite son regard vers Laureline, elle lui adressa un sourire timide, du fait de la conversation qu’elle avait entendu ce matin la un peu plus tôt, puis elle laissa échapper un soupir avant de prendre la parole.


Reality – « Tu m’en passes une ? »

Comme elle s’y attendait Laureline lui passa une clope sans rechigner, July l’allume a l’aide de son propre briquet, puis elle le rangea ou elle l’avait prit c'est-à-dire dans la poche arrière gauche de son pantalon. Sa main gauche l’aidant à garder équilibre sur le cercle, sa droite occupée à tenir la clope, elle tira quelques tafs, mais ne dit pas un mot de plus. Il n’y avait rien d’autre à ajouter.

Laisse moi m’envoler vers une autre vie.
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Laureline Wilde
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyVen 22 Juin - 16:04

HRP – J't'aime calineuse <3. |


La fumée s'évaporait, laissant le vent presque glacial perturber le visage de la préfète de Serpentard. Son coeur suffoquait, tellement fort qu'il aurait put arracher sa cage thoracique. Elle était dans un état instable. Elle fumait, fumait, jusqu'à s'exploser aussi les poumons. Elle se détruisait physiquement après que le mental fut réduit à néant. Elle n'en pouvait plus, d'attendre, de voir sa soeur changer, de voir ses convulsions modifier. Les tuer, ne pas les tuer ? Se servir de Raven ? Ne pas se servir de lui ? Lui montrer qu'elle l'aime vraiment ? Le cacher ? Se laisser prendre au piège ? L'aimait-il vraiment lui ? Peut être qu'il était avec elle rien que pour la manipuler... Elle ne savait pas. Lors de cette soirée, elle avait fait tant de choses, elle avait vu tellement d'endroit, mais le moment avec Raven l'avait le plus marquée. C'était... étrange. Enfin, elle pensait qu'il y avait quelque chose, ce quelque chose qui est pourtant indescriptible. Un truc unique. Un coeur qui battait la chamade, quand il la prenait dans ses bras, elle pouvait entendre le sien aussi. Mais ça ne suffisait plus à la convaincre. Elle le cachait à tous. Personne ne le savait, même pas Kae. Enfin si, il y avait Aaron. Le deuxième chef des Elus. Une connaissance qui a finit par être un très bon ami, et parfois même, on se demanderait pas si c'est beaucoup plus. Normal, depuis, ils font que traîner ensemble aux cours commun, se parlent beaucoup. Beaucoup pourraient se poser la question, beaucoup. Mais qui sait ? Personne n'aura la vérité avant longtemps, sinon Laureline risquait Azkaban pour complicité à des actes terroriste. Elle jouait avec le feu, et elle le savait depuis le début. Tuer ses parents avait été une espérance glauque, mais s'emparer de Poudlard était pire.

L'adolescente changea de position, retirant son dos du cercle, elle se mit face au sol, laissant tendre ses deux jambes dans le vide, basculant généralement en arrière. Elle était à deux doigts suicidaire à ce moment là, mais elle avait toujours son balais à coté, et elle savait que ce n'était pas le moment. De toute façon, cette pensée lui avait seulement traversée la tête, pas plus. C'était trop tôt. Puis elle était heureuse, elle n'avait pas à se plaindre : même si sa vie était un massacre. « On est les enfants oubliés de l'histoire. On n'a pas de but ni de vraie place. On n'a pas de grande guerre. On n'a pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle. » Silence. Laureline fermat les yeux, et tira sa dernière latte avant de jeter la clope par terre. Elle n'était pas éteinte. Mais la chute qu'elle venait de faire lui avait sans doute permis de voler en éclat et d'éparpiller le tout. Laureline grimaça. Elle prit une nouvelle fois son paquet de cigarette et en porta une nouvelle à ses lèvres qu'elle alluma frénétiquement. Durant sa pause repas, elle allait fumer, fumer, fumer, rien que ça. Et quand elle arrivera en Défense contre les Forces du Mal, Miss Thatcher pourra lui faire sa morale de l'année. Surtout que fumer était interdit dans l'enceinte de Poudlard. Genre fallait attendre d'aller à Pré-au-Lard. Ils sont pas dingue ? Tout le monde sait que les directrices se fument leurs clopes dans leurs propres bureaux ! Sourire. Rien à foutre, en fait. Laureline se redressa, se calant la tête contre le cercle, puis elle vit... July. Qu'est ce qu'elle foutait là ? Elle qui pensait qu'elle n'était pas venue en cours parce qu'elle était malade. Non, en fait, elle devait sans doute repenser à la date. Yume, Kae et Laureline en avait discuté le matin même. L'Italie... Oh. Souvenirs. July s'approcha de la préfète, sans doute l'avait-elle vu. La gardienne acquiesça un sourire.


Reality – Tu m’en passes une ?

Fatalité lui envoya la cigarette sans répliquer, comme si tout ceci était normal (ça l'était). Elle n'y voyait aucuns problèmes, rien du tout. Reality était une de ses meilleures amies, une du groupe, une amie inoubliable. D'ailleurs, tout le groupe s'inquiétait pour elle, mais que voulez-vous qu'ils lui disent ? Watteau et William n'avaient pas les mots, ils n'étaient pas doué pour réconforter, juste faire rire. C'était déjà un bon point. Puis Laureline n'était pas vraiment douée pour ça. Elle avait eut beaucoup de mal avec Chloé l'année passée dans la Forêt Interdite. D'ailleurs, elles se retrouvent souvent là-bas généralement. Cette année aussi, elles s'y étaient vu, et en tout hasard. Étrange, mais elles ne sont pas jumelles pour rien. Fatalité mit une main dans ses cheveux pour remettre une de ses mèches châtain derrière son oreille parsemées de boucles. Elle scruta sa lèvre avec sa langue, puis pris une légère inspiration.

Fatalité – Je ne t'ai pas vu au cours de Botanique July. Tu devrais éviter de sécher, lâcha-t-elle sincère. Sauf si... Enfin, non, rien.

Ce n'était pas un reproche, mais un conseil. Elle en prenait compte, ou non. Mais elles étaient à leur deux dernières années, la sixième était presque finie donc il ne fallait pas les gâcher. Du moins, Laureline ne voulait pas redoubler, pour rien au monde. Bien sur, comme beaucoup de personnes, elle avait déjà sécher un cours, normal, mais pas régulièrement. Elle voulait un bon emplois plus tard : Langue-de-Plomb. Histoire d'avoir les informations classées les plus secrètes. Elle en avait besoin pour ses parents. Elle en avait besoin pour retrouver « James Wilde ». Un très bon élève qui avait fait le mauvais choix de l'être, car sa fille avait put connaître son prénom dans la salle des trophées l'an passé. Quand à sa mère, aucuns indices. Mais elle y arrivera. Dès qu'elle aura finit sa scolarité, elle les tuera tous les deux. Pour le bonheur de Chloé avant tout, et aussi le sien.
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July Edwards
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyMar 26 Juin - 1:01

July restait perplexe, perchée sur son anneau, a ses côtés se tenait Laureline, qui était en train de recrachée toutes la fumée de ses poumons a cet instant précis. Reality était persuadée qu’elle aurait le droit a une leçon de morale, mais elle ne pouvait pas vraiment en vouloir a Low ou aux autres de la bande, c’était pour son bien, elle le savait très bien, mais elle ne pouvait pas se fixer de limites toutes seule, pas en ce moment, pas si près de cet anniversaire si proche. Elle esquissa un léger sourire, comme pour tenter de détendre l’atmosphère mais en vain. Elle venait de demander une clope à Low et comme elle s’en doutait, elle lui donna sans aucune remarque. July l’alluma puis tira une taf, et encore une. Cela faisait tellement de bien à la jeune Italienne, elle se sentait vidées de toutes ses pensées qui la torturaient jour comme nuit, de toute façon elle n’avait pas dormit depuis de nombreux jours a présent. Le stress, lui donnait un mal de ventre affreux, la faisant se retourner mainte et mainte fois dans ses draps vert, sans jamais trouver le sommeil. Horrible, croyez la sur parole. Elle tourna alors sa tête vers son amie. Fatalité. Reality s’en voulait de ne pas réussir a cacher, d’habitude elle y arrivait très bien, mais la, c’était impossible, cet épisode était bien trop douloureux pour cette dernière. Ce jour avait été celui qui avait bouleversé sa vie. Le jour ou elle avait le jouer le rôle de la mère, qu’elle avait tout assurer toute seule, sa mère tombant dans la névrose, la déprime, puis la mort. Quand à sa grande sœur, celle qui aurait du être le pour elle, elle n’a plus de nouvelles depuis bien longtemps. July chérissait son pays, et détestait l’Angleterre, elle n’y a pas sa place. Son cœur appartient à l’Italie, mais plus particulièrement à l’île sicilienne. Le soleil, la chaleur. La peau bronzée, les traits de la jeune femme, elle tenait tout de la bas, et attendait avec hâte le jour ou elle pourrait enfin y retourner. Elle y embarquerait toute sa petite bande, leur faisant découvrir ce pays, son île. Son sujet de conversation qui revenait quasiment tout le temps. Enfin… Fatalité, Reality. La vie est une fatalité, dure est la réalité.

Fatalité – Je ne t'ai pas vu au cours de Botanique July. Tu devrais éviter de sécher, lâcha-t-elle sincère. Sauf si... Enfin, non, rien.

Silence. July ne répondit rien à cette remarque du moins pas pour l’instant pour la simple raison qu’elle en trouvait rien à répondre. A dire vrai, Laureline avait parfaitement raison, ils approchaient de la fin d’années, et si elle séchait trop, elle devrait redoubler, et redoubler, signifiait une année de plus à Poudlard, une année de plus loin de son pays. Souffrance. Elle se devait de passer, même si elle devrait faire des nuits blanches pour rattraper tout son retard, et d’après l’italienne elle devait en avoir pas mal. Lourd silence. Elle porta ses yeux bleus sur Laureline, avant de tirer une autre taf sur sa cigarette. Elle arrivait au bout, encore une, puis elle touchait a présent le filtre, l’écrasant contre une partie de l’anneau, elle la laissa alors faire le grand seau, et flottez dans le vide durant plusieurs mètres, avant de terminer par disparaître au beau milieu des mauvaises herbes du terrain de Quidditch. Elle reporta son regard sur Fatalité, puis baissa son regard pour le jeter dans le vide, une voix basse se fit entendre.

Reality – « Je sais… Je ne sécherais plus. »
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Laureline Wilde
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyMer 27 Juin - 5:59

(j'compte sur toi x3)


Silence. Ce n'était peut être pas la meilleure façon d'aborder les choses... Laureline faisait, en quelque sorte, des « reproches » à une de ses meilleures amies à ce moment là. Mais elle n'en pensait pas le moins du monde. C'était juste qu'elle s'inquiétait pour elle et ne savait pas vraiment comment s'y prendre. Elle n'arrivait pas trop à réconforter les autres. C'était dans sa nature, même si elle faisait tout ce qu'elle pouvait elle disait toujours des paroles inutiles. Comme le fait que July séchait les cours, à quoi bon, c'était tout à fait compréhensible, pourtant Wilde ne put s'empêcher d'afficher cette remarque. C'était absurde, idiot. Au fond d'elle, la préfète regrettait un peu. C'est vrai, ce n'était pas sa mère, elle n'avait rien à lui dire. Elle agissait seulement en tant qu'amie. Mais cette attribution n'avait pas pour option le « règlement de Poudlard. » Elle voulait seulement aider, mais n'en trouvait pas les mots. C'était trop compliqué, en fait. Fatalité n'arrivait même plus à regarder son amie en face. Elle cisaillait. Allait-elle au moins lui répondre ou l'ignorer en soupirant ? Tout le monde savait que pour leur anniversaire, les deux jumelles séchaient elles aussi leurs cours pour se retrouver à Pré-au-Lard depuis qu'elles connaissent un des passages secret y menant (donc, depuis trois années consécutives, avant, c'était les Jardins tout simplement). Laureline n'avait donc rien à redire. Mais elle était comme cette mère poule qui reprochait aux autres ce qu'elle faisait elle même. C'était hallucinant. Wilde se mordilla la lèvre inférieure et tira une taffe sur sa cigarette qui était presque consumée. Elle n'attendit pas que cette dernière soit finie pour la jeter et le fit directement laissant le vent l'emporter dieu sait où. La Serpentard n'avait pas le temps de la suivre du regard qu'elle l'avait déjà perdue de vue. De toute façon elle s'en foutait. Elle soupira.

Reality – Je sais… Je ne sécherais plus.

Silence. C'était une promesse ? Ou alors elle en avait tout simplement marre de ces répliques à deux balles ? Fatalité n'en avait aucunes idées. De toute façon, les deux idées lui convenait. Reality avait au moins pris l'initiative de lui répondre et c'était déjà un pas de fait. Mais Laureline resta quelque peu... de marbre. Elle ne savait plus du tout quoi répliquer, laissant les oiseaux combler le silence en chantant. Cette dernière regardait le ciel qui devenait de plus en plus noir alors que la pause repas venait à peine de commencer. Wilde était perdue elle aussi. Comment arriver à aider les autres alors qu'on est soin même en état de décomposition ? Chloé lui manquait beaucoup. Elles se voyaient aux cours communs, mais c'est tout, elles ne se croisaient plus par hasard à la Forêt, bien que la préfète ait essayé une bonne centaine de fois, et elle n'osait vraiment pas lui envoyer une lettre. Elle allait lui dire quoi ? « Je t'aime... Tu me manques. » Jamais de la vie. Elle était trop... réservée pour ça. Et sa soeur savait qu'elle le pensait amplement. Trop perdues dans ses songes, Fatalité ne remarquait même pas la « tension » qui régnait. En fait, non, il n'y avait rien, juste... du silence. Le vent fouettait les cheveux de Laureline. Elle ne bougeait pas, elle faisait juste tanguer ses jambes pour garder un équilibre parfait. L'adolescente se pinça les lèvres.

Fatalité – July... commença-t-elle névrose.

Mais elle s'arrêta illico. Elle ne savait pas quoi enchaîner. Un « Ca va ? » n'aurait pas été nécessaire. Elle savait qu'elle n'allait pas bien, et répondrait sûrement « oui » pour cacher les choses. La préfète voulait dire quelque chose de rassurant, quelque chose qui lui ferait acquiescer un petit sourire. Mais rien ne lui vint. Elle ne voulait pas non plus laisser le prénom de son amie dans le vent. Elle fouilla ses poches pour en ressortir deux grosses sucettes. Vous savez, celles qui sont faites maisons et originaire d'Italie. Enfin, celles là venaient de HoneyDucks mais c'était tout comme, la recette était de son pays. Peut être que Wilde arriverait à faire passer un minimum de ses sentiments là-dedans ? Elle espérait beaucoup. Silence. Ses cheveux vinrent cacher ses yeux lorsqu'elle se tourna vers July.

Fatalité – T'en veux une ?

Elle lui tendit les deux, histoire qu'elle lui laisse le choix du parfum qu'elle préféré. Il y avait cerise et fraise. Laureline aimait les deux, alors elle sera satisfaite pour n'importe laquelle. Elle s'approcha d'avantage du cercle de son amie. Et... BLAM. Perdre l'équilibre. Se sentit chuter, tomber vers l'avant. Merde. Laureline fit la descente. Ca lui faisait penser à sa rencontre avec Kae... La falaise. Où elle avait failli mourir. Accio Comète 260. Elle voulait le dire mais fermait les yeux en gardant les sucettes en mains. Il ne restait que quelques mètres et lorsque la préfète voulut prendre sa baguette elle remarqua que cette dernière n'était pas dans sa poche. Merde. C'était mort, là. Laureline avait les yeux écarquillé. Elle ne pouvait pas, pas maintenant. Mais la Magie ne donne pas des ailes.
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyDim 8 Juil - 0:40

HRP - Oui je vais te sauver xD


July restait silencieuse, assise sur un des cerceaux voisins a celui de Laureline. Elle l'entendit tout d'abord prononcée son prénom, mais rien ne suivit, elle ne trouvait sans doute pas ses mots et c'étaient compréhensible. Dans le fond Fatalité et Reality, se ressemblait énormément, toutes n'étaient pas très douée pour remonter le moral des autres, même si le moral en question appartenait a une personne qui nous étaient chere. C'était alors l'absence totale de mot, comme ci vous retombiez en enfance, lorsque vous connaissiez a peine quatre stupides mots. Elle regarda alors un instant son amie, plongeant son regard vert dans celui de Fatalité. Elle esquissa un sourire comme pour faire comprendre a son amie qu'il n'y avait pas de malaise, qu'elle n'avait a chercher de mots pour la réconforter. Que tout allait bien. C'était oublier. Vrai et faux a la fois. July avait eu un petit coup de déprime, et durant la semaine, il referait surement surface, mais mà pour le coup, elle allait bien mieux, seule la présence d'une amie suffit parfois. Seulement là ce n'était pas n'importe qui c'était Low l'une de ses meilleures amies. Silence. L'italienne sentit alors le vent fouetter son visage, et ses cheveux commencet a flotter dans les airs. Un sourire, encore. Histoire de rassurée encore un peu plus Low.

Fatalité - T'en veux une ?

July fixa alors avec surprise ce que renfermait les mains de Low. c'était des sucettes. Italiennes. Sourire. Quand je vous disais que les grandes phrases de réconfort ne servent a rien, il suffit d'avoir les bons gestes, et de connaitre son amie. July prit alors celle a la fraise, qu'elle allait ouvrir lorsque quelque chose l'en empecha. Fatalité. Elle était tomber de son cerceau. Peur et panique se montraient sur le visage de July. La jeune italienne très forte en Quidditch { d'ailleurs faut que j'aille l'inscrire xD }, saisit alors tout de suite avec reflexe son balais, et commenca a piquer tout droit vers le sol, poussant sur toute la vitesse que pouvait contenir son balai. Elle parcourut des mètres en a peine une secondes, et lorsqu'elle arriva enfin a la hauteur de Laureline, il ne restait plus qu'allez, je dirais cinq mètres avant qu'elle ne s'écrase, elle et July sur le sol. Les cheveux de la Serpentard, volaient dans le vent, et parfois venaient se poser devant ses yeux ce qui ne l'aidait pas du tout. Enfin... Elle ne s'en préoccupa pas une seule seconde, se débbrouillant juste pour ne pas avoir la vue encombrée. Elle s'engagea dans un virage très aidue, et rattrapa son amie par le bassin. Bien qu'elle n'était pas lourde, elle devait tout de même faire le même poids que July. La sixième année stoppa alors son balai en l'air, ne lachant pas Lo, ayant son bras droit enlacer tout autour d'elle. Elle pendait un peu dans le vide. Prennant très vite son équilibre, elle s'aida alors de son bras gauche et tira de toute ses forces pour la remettre sur son balais. Une fois chose faite et que Low se fut accrochée a ses hanches, elle redescendit en douceur jusqu'a ce que ses pieds touchent l'herbe. Elle descendit de son balai, et contre toute attente serra Low dans ses bras.

Reality - Ne me fais plus jamais ça.
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Laureline Wilde
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyJeu 12 Juil - 2:34

(merci xD, car j'avoue que ça me ferais bien chier qu'elle crève xD)


Le silence et la peur. Sentir son coeur battre la chamade, s'exciter dans sa cage thoracique pour ne faire que des vas et viens répétitifs, sentir quelque chose, quelque chose de fort, d'inestimable. Savoir que la mort nous attend à l'autre bout du couloir mais ne pas pouvoir s'arrêter, continuer de tomber avec ou sans crainte. Cesser de respirer. Laureline ressentez tout ça. Ses cheveux faisaient une ligne droite derrière elle, laissant son visage se dégager. Elle fonçait tête la première vers le sol nappé d'herbe verte. Elle ne pouvait éviter la course, elle voulut attraper sa baguette et amener son balais à elle, mais lorsqu'elle mit la main dans sa poche, elle remarqua que cette dernière était vide. Elle ne pouvait ressentir que le froid de ses jambes, le volume de ses muscles et de sa couche de graisse fine. Elle fixa le sol, des gros yeux se lisaient sur son visage. Elle pleurait. Non pas de peur, mais du au vent qui s'abattait sur ses yeux pour lui offrir mille et une poussières. Elle se mordillait la lèvre mais n'arrivait pas à se persuader de son sort. Dire qu'il y avait à peine quelques secondes, elle était avec July. Mais oui ! Elle comprit enfin ! Son amie était là, elle réagirait certainement ! Espérons que ce soit assez rapide pour éviter de retrouver une Serpentard éclatés en milles morceaux sur le terrain de Quidditch le lendemain pour le match Serdaigle – Gryffondor. Ce serait trop réjouissant pour eux. Mais la sixième année avait confiance. Elle savait qu'elle pouvait avoir la foie en son amie italienne. Elle arriverait à la sortir de cette situation comme l'avait fait Kae un an plus tôt. C'était forcé. Lourd silence. Laureline chutait. Elle n'arrivait même pas à redresser la tête pour voir où était son amie, sa nuque se brisait presque sous la pression qu'on lui infligeait. Il paraît qu'au moment de la mort on voit toute sa vie défiler sous ses yeux... Une chute ne prend cependant que quelques secondes, et la Serpentard avait l'impression que ça durait depuis plusieurs minutes, comme si le destin lui jouait un tour. La fatalité. Elle voulait hurler, car bien sur, elle avait peur, même très peur. Qui n'a pas peur de la mort en cette nouvelle hère ? Tout le monde en a peur, tout le monde bien que peu osent l'avouer. Silence.

Plus que cinq mètre, peut être même trois. L'instant de vérité. Laureline n'y croyait plus, et ce n'était pas que des larmes du aux perturbations qui s'abattaient sur ses joues, il y avait aussi de l'impuissance, de la crainte, de la terreur, elle ne voulait pas laisser sa peau, ici et maintenant en ayant pas accomplis ses convulsions. Le fait de laisser Chloé, Raven, Kae, July aussi, et n'oublions pas toute la troupe avec Yume, Watteau et William ; bien d'autre encore. Au fil des années, Laureline avait su s'intégrer. Elle qui avait été une personne si solitaire au début, à traîner juste avec cette Irlandaise du nom de Audrey, elle s'était attachée à d'autre. Et la seule personne qui pouvait en être la cause, c'était Kae. Elle l'avait présenter à Yume, cette fille qu'elle côtoyait depuis cinq ans mais n'avait jamais regardé en face, puis Yume lui présenta July qui lui présenta Watteau qui lui présenta William et ça forma un groupe de méchant. Un bon groupe de vert et argent qui terrifiaient tous ces Bouffondors. Des images défilaient sous ses yeux, était-elle déjà morte ? Elle préférait se couper du monde pour laisser les rêves l'emporter, elle ne chutait plus. Bien au contraire. Elle avait comme un poids sur le ventre, une boule, on ne sait quoi, et elle... volait. C'était ça, mourir ? Elle ne comprenait plus rien car elle trouvait ça presque magique. Non, pas comme les sortilège etc : La vrai Magie. Celle qui n'existe que dans les contes. Elle fit des virages, toujours les yeux fermés, elle ne savait pas où elle allait, elle se laissait guider au grès du vent sans rien penser en s'imaginant avec une paire d'ailes blanche, et non noire. Elle affichait un sourire sincère lorsqu'elle toucha enfin le sol. Elle prit une grande respiration. Attendez. Elle respirait ? Alors...


Reality - Ne me fais plus jamais ça.

Silence. Laureline ouvrit les yeux. Les traits de l'Italienne se dessinèrent petit à petit. Sa vision, fut, au début très floue, mais elle finit par comprendre que, en fait, elle était encore en vie et que July l'avait sauvé. Elle émit un sourire. Un vrai cette fois-ci. Comment avait-elle put croire en la mort ? Néanmoins, elle y avait échapper de peu, et cela, grâce à July. Laureline avait une imagination trop débordante pour croire en de telle stupidité. Voler, et puis quoi encore ? Elle qui pensait qu'il n'y avait rien après la mort, que les vers de terres se contentaient juste de bouffer votre peau. Silence. July s'approcha pour serrer Wilde dans ses bras qui fit de même au même instant. Elle posa sa tête sur l'épaule de son amie et ferma une nouvelle fois les yeux. Quelques larmes n'avaient pas séchée, malgré le vent, sans doute que même lorsqu'elle se sentait voler, elle pleurait encore, bien qu'elle songeait au fait d'être morte et heureuse. Elle n'y trouvait rien de bon. Et ça lui faisait beaucoup de bien d'être là, avec July. Elle attrapa le haut de son amie et serra son étreinte. Son vernis était mort sur ce coup, ce soir ce sera manucure pour les filles (faut savoir s'imposer xD). Elle se redressa, regardant July dans les yeux et en la lâchant. Elle émit un sourire en coin, légèrement. Sourires.

Fatalité – Non, t'inquiètes pas.. Merci.

Comment aurait-elle fait sans elle ? Sans doute ne serait-elle plus de ce monde. Mais le hasard n'existe pas à Poudlard, tout n'est que Fatalité. Et si Laureline devait tomber ce jour là ce n'était pas pour rien, et encore moins si July avait sauté pour la récupérée. La magie renaît, en quelque sorte. Le mythe n'est que partie remise. Choisir la vie.
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptySam 14 Juil - 20:38

{ Ca se comprend. a fond dans ma chanson de Taxi 4 x) mdr }

July restait silencieuse face à son amie, son corps frêle tremblait. De peur d’une part mais aussi parce qu’elle venait de faire un exercice physique assez impressionnant et qu’elle n’avait pas vraiment beaucoup de forces en elle. L’italienne n’avait jamais été réputée pour son côté sportif, pour la bonne raison qu’il était comme inexistant chez elle. Enfin… Elle se passa une main dans ses cheveux bruns, avant d’adresser de nouveau un sourire à Laureline. Elle se souvenait la première fois qu’elle lui avait parlé, c’était par l’intermédiaire de Yume qui était sa meilleure amie depuis leur première année. Dire qu’elle avait laissé des années passer sans jamais tenter de connaître son amie. C’était trop bête quand on y repensait. Enfin, il ne fallait pas regretter le passé, et plutôt voir l’avenir avec sourire, même si parfois ça, July l’oubliait, elle reposa son regard vert sur Fatalité, avant que celle-ci ne reprenne la parole.

July esquissa un sourire. Heureusement qu’elle n’allait plus lui faire de frayeurs pareilles. La Serpentarde avait pu alors sentir son cœur s’affoler à l’intérieur d’elle-même. Battant la chamade, coupant son souffle, elle n’avait pas eu peur comme ça depuis bien longtemps, et ce n’était pas plus mal. Silence. Elle se passa de nouveau une main dans ses cheveux avant de la glisser dans sa poche. Elle en ressortit les deux sucettes. Quand avait elle eu le temps de les ranger dans sa poche ? Aucune idée. C’est July. Elle tendit alors celle a la cerise à Laureline avec un sourire accrochée aux bouts de ses lèvres. Puis elle reprit la parole.


Reality – Le lac c’est moins dangereux.

Rires. Il fallait mieux en rire qu’en pleurer. Au final Laureline n’avait rien, July était soulagée et cette épreuve avait rapprochée les deux amies, même si c’était inconsciemment. Silence. July en avait oublié l’Italie. Elle regrettait un pays qu’elle avait quitter depuis des années, alors que ses amies, étaient la, a Poudlard, pour elles. Pour l’instant elle devait mettre son île de côté. Silence.

Reality – Tiens on se met la ?
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Laureline Wilde
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MessageSujet: Re: Je suis la sueur froide de Jack.   Je suis la sueur froide de Jack. EmptyMer 25 Juil - 9:54

Silence. Laureline avait une nouvelle fois frôlée la mort, et de plus, le concept n'avait lui non plus pas changé, c'était encore du à une chute de plusieurs dizaine de mètres. Silence. La vert et argent se voyait dans July mais d'une autre manière qu'elle pourrait le percevoir. Ce courage qu'elle avait entrepris, la rapprochant d'une Gryffondor, parfois Low en faisait preuve elle aussi, et comme July pour ses proches, et seulement ses proches. Cela peut paraître plutôt égoïste mais il ne fallait pas trop croire en Wilde, elle était superficielle au fond d'elle bien que beaucoup lui donne du mérite. D'ailleurs, elle n'a jamais su trouver sa voie, elle s'est inscrite au Quidditch mais a déjà envie d'abandonner, elle en parlera à Kae dans la soirée, il ne fallait pas qu'elle continue si c'était pour considérer cette tâche comme un fardeau, de plus, beaucoup rêveraient d'être à sa place. Silence. Les deux Serpentards se regardèrent dans les lieux tout en gardant l'étreinte qu'elles avaient entamée. C'était si beau de se sentir vivante. Le coeur de Laureline battait à vive allure, il s'excitait dans sa cage thoracique comme s'il voulait s'évader pour ne plus jamais ressortir. Peut être que Wilde devrait devenir le capitaine du Hollandais Volant à son tour pour l'enfermer loin de tous. C'était peine perdue car son coeur était à Raven, d'ailleurs il avait prit son nom pour se le graver en initiale de sang. Silence. Les tremblements de l'adolescente cessèrent et elle retrouva une température ambiante, ses poils n'étaient plus hérissé et la chair de poule était donc loin d'elle. Néanmoins, ses yeux affichaient toujours de la crainte, malgré elle, bien que July l'ait rassuré en la prenant dans ses bras frêles. Elle avait beau détester le Quidditch, à chaque fois qu'elle avait risqué sa vie, c'était un balais qui venait la sauver. C'était peine perdue, le destin s'amusait avec elle, mais elle ne se retenait pas de le baiser par derrière en faisant toute sorte de chose qui pourraient être dites « mésaventures » . Mais au fond d'elle, ce n'était que de la provocation pour conserver une image dont elle se foutait royalement. D'ailleurs, en ce moment précis, elle ne pouvait pas s'empêcher de jeter des coups d'oeils un peu partout pour voir si un élève (ou bien même un professeur) avait assisté à la scène. Ca aurait été une honte, de plus, si c'était le Gossip et que tout le monde l'apprenait... Elle pouvait dire adieu à sa popularité la Miss ! Bien que la fait d'être préfète et la meilleure amie de la soeur de la directrice y joue beaucoup.

Silence. July se redressa, et Laureline fit de même bien que ses jambes partaient de droite à gauches à causes des derniers tremblements qui ne cessaient pas la cadence (finalement, on peut pas tout avoir). En même temps, Wilde fixa le ciel (après s'être assurée que personne n'avait rien vu, bien qu'elle souhaitait plus s'en persuader elle même), puis elle se surpris à rêvasser. A regarder les nuages et à en profiter, car bien qu'elle s'inquiétait pour tout ce qui concernait les autres, elle avait le temps de penser à elle et à apprécier la vie qu'elle avait. Car lorsqu'on a failli la perdre, on est que plus heureux des lendemains. Sans doute est-ce cela que voulait faire comprendre le méchant qui a un cancer dans Saw (effectivement, ceci est un RP de référence les amis). Lorsque la vert et argent tourna la tête elle vit les deux sucettes italiennes qu'elle avait achetée à Pré-au-Lard ; elle qui pensait qu'elles s'étaient écrasées sur le sol, July était la meilleure ! Le must du must, c'est qu'elle lui tendait le parfum cerise : son préféré. Elle se hâta d'ouvrir le plastique et de la fourrer dans sa bouche. Sa salive prit de suite une teinte rougeâtre, et ses dents firent de même, mais peut importait tant qu'elle évitait de sourire jusqu'à pénétrer dans la salle de bain ; de plus on avait pas une langue pour rien. Le goût était alléchant, ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas eut d'excès de gourmandise.

Reality – Le lac c’est moins dangereux.

Effectivement, il y avait de quoi. Enfin, pas vraiment sur si on prenait en compte le fait qu'il y avait un calamar géant à l'intérieur qui a déjà fais de nombreuses victimes ? Ainsi que beaucoup d'autres créatures qui sont tout autant dangereuse ? Il y a même des rumeurs qui disent qu'il y a des sirènes. Mais de ça, Laureline n'en avait pas peur, depuis qu'elle en était elle même devenue une dans la salle sur demande, elle ne demandait qu'à faire leur connaissance. Bien que tout ce qu'elle avait put vivre lors de cette après midi fut extraordinaire, elle ne préférait pas y pensait et chercher une réponse à toute les questions qu'elle s'était posée une heure après en être sortie. La Serpentard suivit les traces que faisait July en franchissant la grande porte du stade de Quidditch. L'herbe verte et franche devint vite sèches et grisâtre. On remarquait que le Garde Chasse n'était pas un surhomme malgré sa beauté (normal, il ressemble à Raven :D). Silence. Elles marchèrent quelques mètres de plus sans pour autant ajouter un mot supplémentaire. Laureline se contentait d'avaler sa salive goût cerise tout en suçant sa sucette italienne. Il fallait s'offrir des plaisirs dans la vie, bien qu'il faut faire attention à sa ligne. Wilde était peut être trop maigre et n'avait pas énormément de formes, des fesses normales, et des petits seins (il fallait l'avouer), ce qui était un gros complexe pour elle.

Reality – Tiens on se met la ?

Pourquoi pas ? Wilde prit place à coté de son amie qui la regardait en acquiesçant un petit « Oui » à peine audible. Elle remarqua qu'on final ça ne servait à rien si elle prenait place avec elle quand même, les gestes suffisaient à se comprendre, et c'est dans ces rares moments qu'elle comprenait la première race d'homme ainsi que les petits bébés (xD). La sucette de l'adolescente avait déjà perdue pas mal de volume, en remarquant ça, Wilde fit une mine déçue, très déçue même, mais qu'y pouvait-elle ? Toute les bonnes choses ont une fins (et pourquoi pas les pas bonnes?). Des papillons volaient à cotés d'elles, tel un petit univers de merveilles qui cependant semblait pervertis par la haine et la rancoeur. Silence. Wilde regarda autour d'elle pour trouver quelque chose. Quelques secondes de recherche, et bingo, elle en vit une à quelques mètres, elle n'eut même pas à se relever, juste à s'allonger sur le sol et tendre son bras. Elle se redressa tout de même après et tendit sous le nez de son amie deux pâquerettes. Ne me dites pas que vous ne savez plus ce que vous faisiez gamin ? La magie opère toujours quand on a seize ans !

Fatalité – T'es partante ? Tu verras bien s'il t'aime ou non.

En parlant de ça, July ne lui avait jamais parlé de ses « relations amoureuse », elle ne l'avait vu que très rarement avec des garçons à part Watteau et William. Peut être même qu'elle craquait pour l'un d'entre eux ? Allez savoir, Wilde n'en avait pas la moindre idée, mais elle voulait jouer le jeu, July n'était pas obligée de se dévoiler.
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