NEW HOGWARTS.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

 

 Ca fait tellement de bien de faire du mal. l PV l

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Kae Harada
7ème année à Serpentard
 7ème année à Serpentard
Kae Harada


Nombre de messages : 60
Date d'inscription : 07/01/2007

Carte d'identité du Personnage
Poste: Administratrice.
Camp: Mal.
Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l Empty
MessageSujet: Ca fait tellement de bien de faire du mal. l PV l   Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l EmptyDim 11 Fév - 1:20

l Voilou ma chérie, je t'aime l



Personne n’est innocent sur cette planète. Et surtout pas Kae Harada. Ne citons pas non plus Laureline Wilde, ni même Yume Maeda. Ce serait trop en rajouter pour si peu. Si peu vous dites ? Les Serpentards n’ont jamais été aussi horrible dit-on. La jeune capitaine de Quidditch n’est vraiment pas une sainte et tout le monde sait dans le château qu’elle est partante pour tout les coups montés possible tant qu’ils se retournent contre les Gryffondors. A Poudlard, les murs ont des oreilles et souvent ils sont à la cause d'horribles situations pour ces pauvres Bouffondors. Après toute une journée a simplement observé l’ennemi, à sans cesse écouter et surtout à mettre en place le « Coup du siècle » comme disait Kae, le soir arrivait enfin. Sourire. La belle Harada retira son pyjama en plein milieu de la nuit puis enfila discrètement un slim, un tee-shirt, un gilet et des ballerines. Elle passa une main dans ses cheveux pour les réajuster un peu – histoire qu’elle ressemble à quelque chose – et l’adrénaline commençait déjà à l’envahir peu à peu. Les yeux verts de l’adolescente se jetèrent sur le lit de sa voisine, et à pas de loup, elle se dirigea vers son amie.

Breathe – « Yume. Réveille toi feignasse. »

La Japonaise gigota dans son lit, il était tard mais c’était la bonne heure, il fallait partir dans peu de temps. Kae posa ses yeux sur sa meilleure amie, non loin de là où elle était. Elle savait que la jeune fille allait venir, mais pas pour l’instant, il fallait d’abord que Yume et Kae prépare le terrain d’attaque. L’attrapeuse avait tout de même un peu peur que Laureline se fasse attraper, vue qu’elle était préfète, elle ne voulait pas que son oxygène se voit retirer son poste. L’adolescente profita du douloureux réveil de Yume pour saisir un papier sur sa commode, elle prit sa plume avec délicatesse et écrit quelques mots à l’encre.

« Laureline,

Yume et moi sommes où tu sais. Rejoins-nous vite et fais attention à ne surtout pas te faire prendre. Takeshi rode beaucoup dans les couloirs ces temps-ci.

Kae. »


Espérance. Oui, la jeune femme espérait vraiment que sa meilleure amie allait venir participer au plan machiavélique des deux Serpentardes. D’ailleurs… Que faisait le deuxième démon ? L’attrapeuse pouffa de rire en voyant la Nippone se levée comme elle pouvait. Kae leva les yeux aux cieux.

Breathe – « Grouille toi ! On va vraiment arrivée trop tard… Hum… Je connais quelque chose qui va te motivée. »

L’adolescente se contrôla pour ne pas rire puis d’un coup de bras exemplaire elle attrapa sa baguette puis s’approcha doucement de son amie. Elle fit tourner l’objet tranquillement autour de la tête de son interlocutrice. Seul le bruit de leur respiration était audible dans le dortoir des filles de Serpentard. Les chuchotements de Kae rompirent pourtant la mélodie du souffle des deux jeunes filles.

Breathe – « Tu vois ma baguette, Yume ? Imagine comme on va se servir de cet objet avec brio face à ces imbéciles de Bouffondors ! Imagine un peu … Il est presque 23 heures, elles y sont déjà ! Alors fais vite ma poule ! »

Yume ne mit que quelques secondes pour se préparée – étonnant n’est-ce pas ? – et les deux petits diables étaient parties. C’est drôle comme Kae pouvait avoir le sourire jusqu’aux oreilles quant un événements pareil se déroulé. La petite se mordit d’ailleurs la lèvre inférieure car son cœur commençait déjà à battre sous l’excitation de leur nouveau plan. Une fois sorties de la salle commune, Miss Harada plaqua son amie contre le mur pour qu’elles ne soient visible aux yeux de personne. Elle pencha doucement la tête sur le côté pour voir si quelqu’un se baladait dans les couloirs puis avec un geste signalant que la voie était libre, les Serpentardes reprirent leur chemin… Mais où allaient-elles ? Aux cuisines pardi ! Ca sentait le Bouffondor à des kilomètres à la ronde. Sourire. Ah ! Kae arrivait à entendre un murmure une fois près des lieux… La jeune fille regarda un instant son amie, son visage illuminé de pouvoir rire enfin un peu, histoire d’oublié qu’elle ne voyait plus Yuki et Kaori, histoire de passer du temps avec ceux qu’elle aimait, histoire de semer une nouvelle fois la terreur à Poudlard avec comme seule arme son petit cœur d’ange noir.

Breathe – « On y va ? »

Kae était d’attaque. Vraiment d’attaque. Elle était au summum de sa forme. Sourire. Silence. L’attrapeuse poussa la porte d’entrée des cuisines avec grâce et volupté. Elle allait manger du lion avec sa chère et magnifique Yume. Son regard se porta d’abord sur un elfe de maison, qui barrait sa route.

Breathe – « Dégage, veux-tu ? »

L’elfe se poussa, grognant légèrement, et maintenant face à elle se trouvait une Gryffondor qu’elle détestait plus que jamais. Son rictus habituel claqua dans l’air, faisant sursauter le reste des filles présentent dans la pièce. Celles-ci restèrent légèrement « Quoi » face à cette situation… Mettez-vous à la place de ces cinq petites pipelettes, quand deux Serpentardes rentrent, tout change en quelques secondes.

Breathe – « Alors ? On avait faim ? Quand je pense que vous vous la jouées anorexiques mais que vous vous goinfrez le soir sans rien dire. Ah ah… Quel spectacle hilarant ! Vous êtes ridicules si vous saviez. Bande de sales Bouffondordes. Vous me dégoûtez… C’est sûr demain matin je ne toucherais pas mon petit déjeuner… Ah ah ah… Oh ! Et qu’est-ce qu’on dit à ce sale chiffon d’elfe de maison ? Oooooh je sens de la pitié dans l’air. Vous me donnez envie de vomir des dragibus à la crotte de nez. Vous voulez faire la SALE du futur ? Oh ! Yume, tu savais toi qu’il y’avait une sang de bourbe de Gryffondor qui avait crée cette association à la libération des elfes il y’a 100 ans ? C’est pas trop… »

Gryffondor – « Ferme-la Harada. »
Breathe – « Pardon ? Laisse moi rire. »
Gryffondor – « TU VAS VOIR ! »

La Gryffondor sortie sa baguette et la pointa sous le nez de Kae. Celle-ci lâcha un second rictus et leva à son tour l’objet magique.

Breathe – « Yume, tu choisis un rat ou un crapaud pour elle ? »

Rires. And that's all ?
Revenir en haut Aller en bas
Yume Maeda
6ème année à Serpentard
6ème année à Serpentard
Yume Maeda


Nombre de messages : 123
Age : 32
Message Perso : : Prenez moi toute entière, le meilleur comme le pire, mais pour le pire, je suis la meilleure !
Date d'inscription : 10/02/2007

Carte d'identité du Personnage
Poste: Police NH*
Camp: Neutre - penchant vers le mal
Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l Empty
MessageSujet: Re: Ca fait tellement de bien de faire du mal. l PV l   Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l EmptyDim 11 Fév - 14:43

La Grande salle était remplie. Toutes les tables bavassaient, une était plus bruyante que les autres. Gryffondor. C’était la fin de l’année. La coupe des quatre maisons allait être décernée. Tout était rouge et or… En entrant, Yume avait tout de suite compris, comme tous les autres élèves, que c’étaient les petits Bouffondors qui avaient gagné. Lys Shakespeare faisait son discours de fin d’année, et les Serpentards semblaient bien silencieux. Yume en avait ras la frange d’arriver deuxième à cette coupe. Alors que les Gryffonodrs applaudissaient avec hardeur, Yume entendit une phrase qui n’avait strictement rien à voir avec le monde dans lequel elle se trouvait. Kae. C’était la voix de Kae. La jeune fille remua dans son lit aux couleurs vertes et argent. Elle cligna des yeux. Kae n’avait pas allumé la lumière de toute évidence. Discrétion obligeait. Yume avait toujours eu du mal à se réveiller. Elle posa les pieds sur la pierre froide qui recouvrait le sol et se dirigea vers son armoire en se grattant la tête, se demandant bien pourquoi elle s’était levée. Elle n’avait décidemment pas la mémoire vive le matin. Kae la pria de se dépêcher, puis eut l’idée qui ferait marcher Yume au quart de tour.

Breathe – « Tu vois ma baguette, Yume ? Imagine comme on va se servir de cet objet avec brio face à ces imbéciles de Bouffondors ! Imagine un peu … Il est presque 23 heures, elles y sont déjà ! Alors fais vite ma poule ! »

Il n’en fallait pas plus. Yume attrapa un leggins bleu flash, une jupe fushia, des ballerines de même couleur recouvertes de paillettes, un T-shirt blanc aux imprimés fantaisistes et un petit gilet bleu sans manche. Elle adorait tout ce qui sortait de l’ordinaire. En particulier la manga attitude. En tant que nippone, ça paraît normal me direz vous. Elle s’habilla plus rapidement que son ombre et les deux amies se mirent en route. Les cuisines. C’était là qu’elles se rendaient. Le cœur de Yume battait à tout rompre. Elle sentait l’excitation la parcourir en un frisson de joie sadique. Kae vérifia que la voie était libre. On était jamais trop prudente lorsqu’il s’agissait de frauder. Poudlard était une petite communauté, et tout se savait entre les élèves. Les murs avaient des oreilles, mais malgré toutes leurs mésaventures, Kae, Yume et Laureline ne s’étaient jamais faites attraper. Des murmures provenaient des cuisines. Elles y étaient. Les visages de Kae et Yume semblaient presque Demoniaquements Angéliques. Elle préparait ce coup depuis un petit bout de temps. Kae poussa la porte des cuisines. Le spectacle allait commencer. Sans ciller, La plus jeune des Harada se débarrassa de l’elfe de maison qui leur barrait la route. Devant elles, cinq Bouffondors, entrain de manger comme si leur vie en dépendait. Yume ne pu retenir un petit rire moqueur.

Breathe – « Alors ? On avait faim ? Quand je pense que vous vous la jouez anorexiques mais que vous vous goinfrez le soir sans rien dire. Ah ah… Quel spectacle hilarant ! Vous êtes ridicules si vous saviez. Bande de sales Bouffondordes. Vous me dégoûtez… C’est sûr demain matin je ne toucherais pas mon petit déjeuner… Ah ah ah… Oh ! Et qu’est-ce qu’on dit à ce sale chiffon d’elfe de maison ? Oooooh je sens de la pitié dans l’air. Vous me donnez envie de vomir des dragibus à la crotte de nez. Vous voulez faire la SALE du futur ? Oh ! Yume, tu savais toi qu’il y’avait une sang de bourbe de Gryffondor qui avait crée cette association à la libération des elfes il y’a 100 ans ? C’est pas trop… » Dit Kae d’un ton singlant.

Rêve – « Sans rire ? Ahaha Il y en a vraiment qui n’ont rien à faire. La libération des elfes et puis quoi encore ? L’égalité entre les maisons de Poudlard ? » Cracha t-elle face aux Bouffondor.

Gryffondor – « Ferme-la Harada. » Dit la sang-de-bourbe en fixant Kae
Breathe – « Pardon ? Laisse moi rire. »
Gryffondor – « TU VAS VOIR ! »

Elle sortit sa baguette pour menacer Kae. Cette dernière fit de même en jetant un regard complice à Yume. Elle lui proposa une transformation en rat… ou en crapaud pour l’insolente Bouffondor. Yume s’autorisa un rictus maléfique et se dirigea vers les immenses plats de nourritures. Elle avait une idée derrière la tête. Elle chuchota en passant à côté de Kae qu’elle avait une meilleure idée. Elle attrapa une bouteille de jus de citrouille et bu une gorgée au goulot.

Rêve – « Tu as soif ? » Demanda t-elle à l’impertinente. Elle ne savait pas à qui elle s’attaquait. Elle fixa Yume d’un air sceptique. « Mais si tu as soif regarde toi, tu meurs de chaud, tu es toute transpirante. » Observa t-elle en vidant le contenu de la bouteille sur la Bouffondor qui poussa un cri de surprise. Yume éclata d’un rire diabolique.

Elle l’avait bien mérité. On ne menace pas Kae Harada sans avoir par la suite à faire à Yume. Et inversement. Elles s’entraidaient mutuellement, elle se comprenaient et avaient… la même vision des choses. La Bouffondor se retourna et fixa Yume. Elle était toute dégoulinante et poisseuse… comme un sal vers de terre. Yume ne pu s’empêcher d’éclater de rire.


Gryffondor – « Toi ! »
Rêve – « Si tu voyais ta tête ! Tu peux pas savoir c’que t’as l’air ridicule mademoiselle la princesse ! Encore plus pathétique qu’à ton habitude » Explosa Yume en se tenant les côtes à côté de Kae qui riait de plus belle.

Il aurait fallut voir ça. Les autres Bouffondor ne remuaient pas le moindre cil. On aurait dit qu’elle ne respirait même plus. Elle devait avoir trop peur que les Diablesses leur massacre leurs vêtements ou leurs coiffures. Chose que Yume se ferait un plaisir de réaliser. Qu’allaient-elles encore inventer pour se moquer de leurs Bouffondors préférées ?

Imagination. Vous verrez bien…
Revenir en haut Aller en bas
Laureline Wilde
Préfète, 7ème année à Serpentard
Préfète, 7ème année à Serpentard
Laureline Wilde


Nombre de messages : 414
Age : 33
Message Perso : : La vérité, c'est qu'on s'emmerde profondément parce qu'on a plus rien à désirer.
Date d'inscription : 05/01/2007

Carte d'identité du Personnage
Poste: Administratrice.
Camp: Noir
Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l Empty
MessageSujet: Re: Ca fait tellement de bien de faire du mal. l PV l   Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l EmptyLun 12 Fév - 23:52

HRP – J'vous aime =). |



C'était de vraie diablesses. Elles étaient tout ce qu'il y avait de plus maquiavelique en ce monde. Avec leur tête d'anges, on ne pouvait leur refuser. Jamais elles ne se privaient de quoi que ce soit. Elles étaient prédestinées, tout ce que vous voudrez entendre. Jouer les 400 coups étaient leur occupation favorite. En tant que Préfète, Laureline assurait comme le ferait Judas ; Hypocrite. Elle abusait de son poste pour ridiculiser tout ce qui était rouge. Et c'était vraiment... jouissif. « Ça fait tellement de bien de faire du mal ». Ça se comptait bien au-delà des doigts des deux mains, des orteils des pieds ; elle en avait fait des crasses. A n'en plus respirer, à s'en bouffer les cheveux. Laureline était prête à tout ; à tout pour ridiculiser ces Bouffondors. Qu'est ce qu'ils avaient de plus ? Rien. Leur courage, ils peuvent se le foutre entre les deux jambes ; s'ils en ont. Ce qui peut être rare devant de telles adolescente.

Cette nuit là, Laureline était restée aux arrières. Elle s'occupait de la paperasse de son boulot administratif ; si elle pouvait s'en passer, ce ne serait pas plus mal. Kae et Yume étaient déjà partie ; normalement. Rien que d'y penser, la sixième année sentait son coeur frémir, elle en avait tellement envie... De les voir, ces filles, ces nullité, ces pouffiasses. Pouech ! Laureline fronça légèrement les sourcils. Elle souffla un grand coup, remit sa mèche de cheveux un place, et fixa l'asiatique qui lui faisait office d'aide. Un préfet, en gros.


Fatalité – « Bon. Tu sais quoi ? Moi je me tire. Tu te débrouilles avec le reste. Amuses toi bien. » Rétorqua-t-elle.

Et elle se leva. Poussant sa chaise violemment contre la table. Seiko n'avait même pas eu le temps de répliquer que la préfète tordait déjà du cul vers son dortoir. Ses cheveux ressemblant éperdument aux plumes de corbeaux ondulaient dans l'air. Elle avait la grâce, la beauté, elle était - parfois - lucide, et elle était Laureline. Être Laureline signifiait avoir le cran, avoir le tact, être elle. Soupirs. La jeune adolescente descendit les marches une à une pour accéder à sa chambre. Dès qu'elle ouvrit la porte, elle ne vit rien. Rien à par quelques rideaux noir tirés, des habits jetés en pagaille aux sol et... cette lettre. Sourire. Laureline posa son sac sur la première chaise qu'elle croisa, et prit le parchemin dans ses mains. Kae.

« Laureline,

Yume et moi sommes où tu sais. Rejoins-nous vite et fais attention à ne surtout pas te faire prendre. Takeshi rode beaucoup dans les couloirs ces temps-ci.

Kae. »


Se faire prendre. Même si c'était le cas, elle trouverait toujours la bonne excuse ; toujours. Et puis ces directrices étaient en guimauve, elle pourrait leur dire n'importe quoi, elles la croirait éperdument et lui redonnerait immédiatement son badge. De toute façon ; elle n'avait rien à perdre. Un sourire de malice se dessina sur les lèvres rose de la jeune Wilde, elle imaginait la scène sous ses yeux, ses yeux d'adolescente en pleine crise. Waw. Sublime. Il faudrait immortaliser ce moment, de façon à ce qu'ils comprennent tous, sales Bouffondors. On en donnerait de la pâté pour chien ; s'ils l'acceptent car le goût ne doit pas en allécher certains.

Laureline se déshabilla ; elle n'allait pas s'y rendre en tenue de ringarde ; qu'est ce que vous croyez. De plus, avec l'insigne. Imaginez si un professeur se pointe, elle pourrait toujours se casser en courant ; au pire des cas. Et ils n'auraient pas eu le temps de voir son visage dans la noirceur des lieux. So good. La jeune fille enfila un jean qui lui moulait toute les jambes. So sexe. Avec un débardeur noir qui lui faisait ressortir tout ce qu'elle avait ; comme une digne pétasse. Une paire de ballerine à la main, elle les enfila et se rua vers la sortie, en silence. Laureline s'imaginait déjà le lendemain, racontant toute les prouesses qu'elles avaient toutes put faire. Les rires de tous ces ingrats. La honte et la pudeur que ces Bouffondors éprouveront. C'était un pur délice.

Elle dévala la sale à toute vitesse. Ne jetant même pas un coup d'oeil à Seiko qui était toujours fourré dans sa paperasse. Demain, qu'il vienne même pas la voir ; elle l'enverrait se faire chier. Ce qui serait embêtant parce qu'il est plutôt sympa dans le fond. La porte traversée, Laureline se dépêcha de se rendre aux Cuisines. C'était la bas que le plan devait être exécuté. Elle évita de se faire prendre par Nathan Shakespeare qui rodait dans les cachots, pour une raison inconnue. De toute façon, il était autant en fraude qu'elle ; qu'il l'avoue ou non. Le tableau de la coupe de fruit était visible sous ses yeux émeraude. Son sourire était en pleine expansion. Bientôt...


Fatalité – « Je ne vous ai pas trop fait attendre j'espère. »

...Elle avait lâche auparavant le mot de passe à la va vite, d'une vois mélangée à de la joie et de l'excitation. Sa respiration s'accélérait, c'était parfait. Kae était sublime. Yume réagissait comme il le fallait. Et ces Bouffondordes... HILARANT. Vraiment. Laureline tourna sont visage pâle vers elle. Et dès qu'elle les vit. Jamais elle n'avait autant rit. Là, c'était le film du moment, il méritait d'être sur le grand écran. La préfète ne pouvait s'empêcher de se moquer de ces cruches. Elle se contenta de rire et de s'approcher d'avantage d'elle, pour arriver à seulement quelques centimètre du visage de la première. Celle-ci était l'une des pire ; une que Laureline supportait le moins.

Fatalité – « Tu t'es vu ? On dirait que t'es sur le point d'aller sous les jupons de ta mère. Ma pauvre fille. Tu me fait pitié. » Dit-elle d'une voix froide et précise.

Et elle les laissa ainsi. Manquerait plus qu'elle les aide. Fallait pas se foutre de la gueule du monde. La Sixième année s'approcha de ses deux amies. Et fit déjà le sourire de la victoire. Même si la misère n'était pas fini, c'était juste le commencement.
Revenir en haut Aller en bas
http://Hana-Bi.skyblog.com
Contenu sponsorisé





Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l Empty
MessageSujet: Re: Ca fait tellement de bien de faire du mal. l PV l   Ca fait tellement de bien de faire du mal.  l PV l Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Ca fait tellement de bien de faire du mal. l PV l
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» L'habit ne fait pas le moine {PV}
» Nina-Viktoria Mironov {fait}
» La cabane hurlante fait des siennes... {libre}
» Un repas bien copieux

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NEW HOGWARTS. :: HRPG » ((Corbeille)) :: » LA PENSINE * :: » SAISON #01 * :: » ANCIENS RP *-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser