Snaga Ata marchait dans les rues sombres de la ville. La nuit était tombé sur la capitale. Les ombres s’était agrandir dans les ruelles sans lumière offrant des cachettes à la louve qui s’offrait une balade nocturne un soir de nouvelle lune.
Elle traverse une ruelle silencieuse comme une légère brise. Elle passa non loin d’un clochard moldu allongé sur le trottoir enveloppé dans des cartons ramassés dans un supérette a quelle maison de la. Snaga l’observa un instant. L’homme était et sentait le vin, le tabac et l’urine. Il dormait en plein central de la capitale britannique dans la plus indifférence du reste du monde. Les yeux de la louve fit rétrécir. Les humains avaient de biens curieuses façons.
Elle les observait depuis des années. Elle les regardait vivre autour d’elle par million telles des fourmis rampantes et voraces qui passent, détruisent et reconstruisent le monde. Un monde exclusivement a leur image.
Une société conçu exclusivement sur la satisfaction des vices de ses membres. Chaque pulsions du vices créant un marché versant en satisfaire ce vice. Enfin de le rendre permettant et rentable, les pourvoyeurs doivent veiller à l’entretenir par la communication. Et quand tous les vices sont satisfaits et que le marché est stagnant, les pourvoyeurs créent des nouveaux vices inventés de toutes pièces et par la communication, parviennent a convaincre du besoin de ce vices et de l’importances de le satisfaire.
L’homme que Snaga avait devant elle était la parfaite représentation de ce qu’était a ses yeux la société humaine. Un être dépravé au bord de la tombe, victimes de tous les pourvoyeurs de vices qui sucèrent son êtres jusqu'à la moelle pour un laisser d’un zombie imbibé d’alcool et de tabac. Ô jolie société que voilà… répondant avec tant d’empressement aux penchants de ses membres sans se soucier de ce qu’il ont vraiment besoin.
L’homme aurait pu mourir a l’instant que personne ne l’aurait regretter. C’était une chose que Snaga ne parvenait pas a comprendre. Elle était née au sein d’un clan ou tous les membres avaient une importance aux yeux de chacun. Comment une telle race avait pu dominer le monde ? et comment le monde allait s’en remettre une fois que tout serait fini ? Car les choses ne pouvait durer ainsi éternellement, Snaga en était persuadé. Un jour, la société humaine allait se cacher la figure, faire un joli plongeon dans les abîmes de l’oubli et du passé. Snaga esparait d’être la pour voir ça et même y participer. Ce serait tellement drôle.
Snaga abandonna l’homme qui cuvait son vin et continua son chemin.