PV - Intruision Ennemie. (Bal de Pâques - Intrigue)

HRP – Aloooors. En tout, il doit y avoir Aaron, Ellen, Cassandra, Raven, Un des Perso de Nath et mes deux persos (ca va être galère pour moi qui n'ait pas le web, bon on verra).
Puis désolée pour la qualité du RP, j'ai fais vite car on est un peu à la bourre (Lys aussi d'ailleurs xD) |

On sent la liberté nous parcourir les veines, notre sang froid s'assèche, devennant aussi solide que la pierre. Nos prières s'envole, comme des notes de musiques sous un air de Guitare des Beatles. Les idées parviennent à nos neuronnes bousillés, celles-ci vont parssemer notre vie quotidienne de fantaisy et de guimauve à l'eau de rose ; pas toujours. Il y avait l'éventualité : CETTE éventualité. Le fait de sauter sur l'occasion du siècle, créer un carnage, tout détruire pour partir au plus vite, tel était l'objectif. Faire infiltrer Raven et ses fidèles dans le château en tant que Elus, et vivre cette putain de renaissance, ce renouveau absolu qui dominera ce futur. Car les jeunes de nos jours s'révoltent plus, ils ne cherchent qu'à être promus, et blabla. Laureline le savait, cette occasion pour ces vacances, c'était le plan rêvé. Un bal masquet, les visages inconnus qui se dressent devant Poudlard, qui recherchent une conquète parssemée de recherche. Ce n'était qu'une mission comme les autres, mais c'était tellement excitant, tellement jouissif que ça approchait de l'extase. Deux semaines sans avoir à supporter ses professeurs, deux semaines de libertés qui vous donne le smile jusqu'aux oreilles, carrément. Et là, tout commence. Low dévale les cachots à une vitesse folle, une tenue de soirée sur le corps, elle était noire et la moulait légèrement, elle portait aussi un masque comme le voulait la tradition. Mais quel était le rapport avec Paques ? On s'en fou car cette fête sera le commencement. De sa tenue pas spécialement pratique, la préfète marcha le plus vite possible, ils étaient tous dans la Grande Salle avec leurs cavalier, celui de Laureline devait encore attendre, celle d'Aaron aussi par la même occasion. Dommage qu'elle ne sache pas qu'en fait, c'était lui son partenaire. Fatalité. Quoi que, si ça aurait été Drew, elle aurait pu en faire baver Kae. Bon, ils s'étaient donnés rendez-vous à l'entrée de la Bibliothèque, Ellen, Aaron et elle.

Laureline monta étage par étage avec précaution, en cas qu'un professeur ne soit pas à la traine, où qu'ils n'aient pas encore remarqué son absence... De toute facon, dès qu'ils seront tous réunis ils ne pourront rien faire, non ? Le silence régnait, la gardiène attégnit le quatrième étages sans trop de difficultés, et elle vit au loin Aaron et Ellen adossés contre un mur (on dit que vous êtes déjà là comme ca ca ira plus vite et les Angels of Death pourront entrer directement dans le RP ^^ ). Laureline leur fit un signe de main en guise de « Salut » de loin, jusqu'à ce qu'elle arrive devant eux. Elle prit une grande inspiration, tout de même un peu génée de se présenter dans une telle tenue, de toute facon on ne voyait pas les expressions de son visage avec son masque noir. L'adolescente prit une inspiration, et lâcha les paroles suivantes :

Fatalité – « Désolée du retard, je devais rester discrète. Bon, on y va ? »

Et elle n'attendit pas leur réponse pour avancer de nouveau. Les visages d'Aaron et Ellen étaient eux aussi masqués et ont n'y voyait que du feu. En parlant de la Professeur de Sortilège, elle était tellement jeune qu'on la confondrait facilement avec une élève, alors ceci ne posait aucun probleme de parler librement avec elle, et puis... Elle est membre des Angels of Death ! Laureline attrapa la poignet de la porte qu'elle tira, l'immensse bibliothèque du Chateau entra dans le décors, pour ne laisser qu'une fraiche odeur de neuf et de poussière palpiter les narrines de la Serpentard. Ce lieu était vraiment repoussant, même lorsqu'on aime la Lecture, on peut se sentir exclue, et même dans un autre monde, où toute féerie n'existe pas, où seulement l'intelligence et le par coeur sont là ; lassant. Mais Laureline ne s'attarda pas, elle marcha encore, elle avait trouvé ce passage secret par accident, une fois, lorsqu'elle étudiait seule dans la Bibliothèque, il y a des livres tellement vieux et crasseux que personne ne les touche... Et il y a bien une raison, en fait ce sont seulement des trompes l'oeil. Elle s'approcha d'une étagère, et attrapa dans ses main un livre où une araigner se dorlotait les fesses, où les toiles se faisaient nids, où les mouches se faisaient nourriture. Dès que ce fut fait, elle tira, de ses doigts agile et fins, pour resortir le roman crade, puis tout devint... normal. Le livre avait reprit une couleur normale, était simple, etc. Il ne faut pas se fier aux apparence, la première fois la Serpentard avait été surprise, ébahit, mais plus rien ne l'étonne à Poudlard, à présent elle affichait même un sourire ravi. L'étage s'écarta du mur, pivotant sur elle même et laissant entrer des ombres dans la Bibliothèque.

Enfin, ils étaient là. Silence.

Fatalité – « Raven... ? » Laissa-t-elle échaper dans un murmure.

Nous serons à jamais le cauchemar de tous les étudiants frivole et idiot de Poudlard. Nous sommes les rois.

Invité

HRP - Bon Bhin je commence le premier. Ton RP est une superbe intro.

Le soleil, venait de se lever sur Poudlard. Il traversa les grands vitraux de la chambre d’Ellen. La Belle était déjà levée depuis longtemps. La jeune professeur de Sortilège, n’assurait aucun cours aujourd’hui. Oui nous étions le jour de Pâques et ce soir ? Oh oui, le Bal. Belle était impatiente, non parce qu’elle allait danser avec Heinrish, secrètement, mais parce que cette journée allait pimentée son sang. Passant ses fines et douces mains, entre les gigantesques rideaux noirs, elle fit entrer les jeunes rayons du soleil qui éblouissement les iris noirs de la jeune femme. Elle laissa passer un sourire, puis se dirigea vers la salle de bain. Il fallait ressembler au dernier jour de sa dernière année. Maquillage, coiffure, fringue, sourire, ne rien laisser passer. Elle avait opté pour quelque chose de changeant, quelque chose qui ne lui correspondrait pas habituellement. Ce jour, n’était pas habituel. Ses cheveux, était par contre, eux comme à son habitude. Longueur habituel, un peu décoiffé, mais absolument beau. Nous passerons, bien loin, des sous vêtements très … Hum. Oh ! Là voila qu’elle enfile sa robe. Une merveille. Très féminin. Le tissu de sa robe était satiné de couleur, mauve foncé au reflet rouge, sa robe était coupé en deux parties : le bas était chiffonné et lui arrivait a mi-jambe, très souple tandis que le haut, lui collait à la peau, définissant avec finesse ses formes. Ainsi, on ne l’avait jamais vu aussi féminine et jeune. Elle convenait parfaitement à la mode actuel, et pouvait se fondre facilement dans le décor. Elle mit des collants noirs à maille, et alla chercher dans un petit placard ses talons couvertes d’un vernis noir, d’une quinzaines de centimètre de hauteur. Oui, elle avait le sens de l’équilibre. De même, il y avait cohérence avec tout.

Lorsqu’Ellen était une jeune Serpentard … Enfin déjà ce n’était pas Ellen, mais Andrea. Et Enfin Belle, pour conclure avec Ellen. Peut connaisse son vrai prénom d’ailleurs. Bref. Elle repassa une dernière fois, devant la glace, se mit un peu plus de mascaras et repartit dans sa chambre. Ah ! Voila. Revenons à cette époque où elle était élève à Serpentard. Où chaque année, au moment de Pâques, un Bal était organisé. Ce jour, si lassant où Andrea s’ennuyait tellement. Surtout lors de sa cinquième année. Elle tomba sur le plus horrible de cavalier. Il était pas mal physiquement, mais mentalement … Enfin ! C’est une autre époque. Venons-en au faite, que comme le voulait la tradition, chaque participant, devait porter un masque. Elle portait toujours le même, simple et peut couteux. Mais cette année, elle était professeur, et la jeune femme devait innover. Elle ouvrit le premier tiroir de sa table de chevet, et en sortit un fin masque. Il ne couvrait que ses yeux, mais cela suffisait à ce que personne ne la reconnaisse. Enfin, aucun de ses élèves ni collègues. Elle prit le masque entre ses doigts, et le posa sur ses yeux. Il tendit sa baguette sur un coin du masque, et en quelques mots, il se fixa magiquement. Son masque, avait été fait avec le même tissu que sa robe. Et à dire vrai, moi-même, je ne le reconnaissais pas. Étrange.
Elle prit une cape, légère, qu’elle fit voleter sur ses épaules. Elle la fixa autour de son coup, ou une perle noir entouré d’Or, était utiliser comme fermoir. Elle s’arrêta net : fixa son regard, dans le reflet d’un grand miroir, et spontanément dit à haute voix :

« Ne te fit pas aux apparences chérie, elles sont trompeuses. »

Elle descendit les escaliers, avec une facilité qui en ferait rager certains. Elle tenait légèrement sa robe entre ses doits, et du haut de ses quinze centimètres rehaussés, elle se dirigea vers la Bibliothèque. Elle tapotait sa baguette contre son index, machinalement cmme pour tenir un rytme cadencé. Elle passa, par les couloirs les plus habituelement vide, vérifiant que personne ne la suivait du regard. Ici, les murs nous écoutent. Ellen n’avait jamais pue supporté la Bibliothèque, c’était si lugubre et sérieux. Et puis la Bibliothécaire faisait faute de goût, enfin une tenue vestimentaire ne faisait pas partie de ses obligations. Surement. Ses talons résonnaient dans tout le couloir, ce qui l’énervait de plus en plus. Et vous conaissez son caractère lunatique ? Sa respiration s'accentua, elle monta les yeux aux ciels, et en informulé, pointa sa baguette sur ses talons. Il n’y avait plus un bruit. Ellen avait retrouvé une comportement stable. Elle monta à vive allure, les grandes marches. Salua un personnage d'un vieux tableaux, au fond duquel un homme se noyait. Elle passa une succession de longs couloirs. Décidement, elle avait bien prit le chemin des écoliers ! Et cela tombait à pique. Ellen était toujours en avance. Personne n’était encor arrivé. Elle était la première. Il fallait attendre Laureline Wilde et Aaron Becker. Elles les connaissaient bien. Tout deux était en Sixième année, seulement, une seule chose avait frappé Ellen. Aaron était un Gryffondor. Elle qui détestait ces ignares, elle trouvait qu’Aaron était un garçon très intéressant, et intéressé. Oula. Voyez-vous là, le regard d’un professeur cynique ?

Ellen s’adossa au mur, en attendant les deux jeunes autres élèves. Aaron arriva rapidement, mais Laureline se fit attendre. Attente qui était justifié. Tout était, comme l’avait-on dicté. Ils entrèrent tous vers la Bibliothèque. En tant que membre des Angels of Deaths, elle avait une bonne place ici. Mais lors du combat prochain elle avait pour obligation de ne pas trop participer. Au risque de tout perdre. Ces confiances qui sont si durs à berner ! Ellen avait déjà vu une fois, grâce a une célèbre carte que des Maraudeurs de Poudlard, avait reproduit, le passage secret duquel les Angels of Deaths allaient sortir. Elle connaissait pas mal de passage secret ici. Elle aida, soigneusement Laureline à enlever les quelques toiles d’araignées qui se jugeaient indestructible. Elle se décala, attendant que le passage s’ouvre. Un sourire en coin. Tout pouvait enfin commencer.

19 heures. 4 Silhouettes s’engouffrent dans le pub désert des Trois Balais. Ils s’avancent silencieusement vers la cave de l’établissement, ouvrent la porte et s’y engouffrent. Ils se dirigèrent vers le mur est de la pièce, là où s’entassaient des tonneaux regorgeant d’hydromel.

L’une des 4 silhouettes, la plus petite des 4, s’avance et tappote 3 fois sur 3 fûts différents ce qui fait pivoter le mur de tonneaux et laisse apparaître un tunnel.

Fallen Angel – « Messieurs… » il se tourne vers une des personnes présente «…et mademoiselle, la voie est libre… »

Ils s’engouffrent tous dans le passage et avancent silencieusement, à la lueur de leur baguettes. Raven exultait, c’était LE grand-soir. Enfin, enfin il avait trouvé le moyen d’entrer en possession de la prophétie et, par la même occasion, de semer le troubles chez ses ennemis. En-effet, qui se serait attendu à ce qu’ils attaquent Poudlard ? Personne, car ceux de l’Ordre sous-estimaient beaucoup trop les Angels, ils pensaient qu’ils préféreraient s’agrandir dans l’ombre et ne pas trop faire parler d’eux…C’était peut-être ainsi que cela fonctionnait un siècle au par-avant, mais plus aujourd’hui. Raven avait ses propres méthodes, et elles s’avéraient payantes jusque-là.

Ils étaient arrivés. Au bout du couloir, devant eux, se dressait un mur, et ils n’avaient plus d’autre choix que d’attendre que leurs complices arrivent et leur ouvrent la voie.

Raven souriait en pensant oh combien la Direction de Poudlard, ainsi que les membres de l’Ordre pouvaient être aussi bête. Ils n’avaient même pas pensé à soumettre les membres de leur corps enseignant à un interrogatoire au Veritaserum, question d’éthique et de réputation. Car il savait très bien que, si ils étaient amenés à faire une telle chose, Poudlard fermerait car les parents penseraient que Poudlard n’était plus aussi sur qu’autrefois…ils avaient une épée de Damoclès au-dessus de la tête et ne pouvaient pas manœuvrer. Tant mieux pour ses espions dans l’école, car l’attaque de ce soir ne les rendraient pas inutilisables, une double victoire : il aurait l’Oracle, et pourrait continuer à recevoir des informations sur Poudlard…parfait.

Le mur pivota enfin, la lumière s’infiltrat dans le couloir, éblouissant d’abord les 4 personnes pour ensuite les laisser apercevoir 3 silhouettes, ils étaient tous là. Raven et les autres entrèrent dans la bibliothèque, le leader un sourire radieux sur les lèvres et un masque cachant les traits de son visage.

Fatalité – « Raven... ? »

Fallen Angel – « Laureline…tout est en place ? »

La question ne nécessitait aucune réponse et n’en demandait aucune, elle était là pour remplir la conversation, point. Tout était en place, la fête pouvait commencer.

Silence, s’enchainant sur une respiration lente. Aaron était allongé sur son lit, paupieres closes, et respiration tranquile. Et pourtant il était agité, trop agité. Il fallait rester de marbre alors que l’exitation s’emparait de vous comme une proie.
Ce soir, c’était le Bal donné en l’honneur de Paques, vieille tradition religieuse de l’école qu’Aaron qualifierait de stupide, déplacée, mais ce soir il ne jugerait pas cette soirée comme les autres années, non, ce soir était sa soirée.
L’hypocrite se retourna dans son lit. En tant que coordinateur des Elus, il avait un poste important à Poudlard, enfin, en tant que co-coordinateur. Laureline était venue partager son poste. Il l’appréciait comme une amie, bien que ce soit une amie un peu particulière, ils étaient assez differents, et elle était avec Raven. Les rumeurs circulaient au sein des Elus à ce propos mais Aaron essayait de les faire taire.
Les Elus...Sa seconde maison, sa seconde famille. Il les aimait, ces elus. Il jetta un coup d’oeil à sa montre à gousset en argent posée à coté de lui. C’était un des rares objets qui lui restait de ses parents. Beaucoup de gens avaient pitié de lui. Il haïssait cela. Leurs pitités étaient hypocrites et leurs regards pleins d’immondices. Ses réels parents étaient morts dans un accident de voiture. Il ne se souvenait de rien avant l’accident qu’il avait aussi vécu.
Son regard se posa sur les rideaux tirés teinte rouge-sang de son lit à baldaquin. Quelqu’un venait de penetrer dans la piece. Le Gryffondor décida de se lever et de se préparer. Hate, il avait hate.

Il tira rapidement les rideaux, n’observant pas ses camarades qui riaient à pleins poumons. Il se dirigea vers la salle de bain. Il detestait la vie en communauté, c’était atroce lorsqu’on devait mentir à tout va.
Il prit une douche froide et ressortit rapidement. Voila qui avait calmé ses ardeurs. Il se regarda dans la glace. Il était trop pale, trop maigre, il se detestait d’etre comme cela. Il enfila son costume trois pièces à la hate, ne boutonnant pas tout les boutons, ayant un pant de la chemise à l’exterieur. Quand à ses cheveux, ils étaient ébouriffés, sa frange était sur le coté, il se maquilla le contour des yeux en noir pour l’occasion. Puis il sortit de la salle de bains et remarqua des yeux roivés sur lui. Les autres étaient tous niquel, rien n’était laissé au hasard, mais lui arrvait nonchalemment et avec une élégance improbable. Merde. Lui qui ne voulait pas se faire remarquer.
Il observa que les autres avaient tous apporter des demi-masques noires, tandis que lui avait amener son masque à gaz d’un gris sale. Il voulait etre original puisque personne ne le reconnaitrait. Il prit discretement son masque et sortit de la piece.

Pas un bruit dans les couloirs. Les élèves devient tous etre surexiter dans leurs chambres respectives. Aaron n’avait pas vu les années défilés, cela faisait déja six ans qu’il était dans cette ecole, six années plutot chiante, mais où il avait changé, beaucoup trop changé. Il n’aimait pas ce passé insignifiant. Il se mit à siffloter dans les couloirs deserts, puis se décida à mettre son sublime masque. C’était un bonheur, une extase. Il replaca ses cheveux. Seuls le froissement de ses vetements et ses semelles produisaient un bruit qui résonnait dans l’espace vide du couloir.
Il y était presque, à deux pas, là, il voyait Ellen. Il s’avanca vers elle avec un mince sourire en guise de salutations. On aurait dit une élève, et non une professeur. Mais ils savaient tous deux pourquoi ils étaient ici.

L’Elu s’appuya nonchalament contre le mur de pierre, quand quelques minutes après Laureline accourut. C’était étrange de la voir vêtu de cette façon, mais Aaron ne s’attarda pas trop. Tous les trois pénètrèrent dans la bibliothèque.
Laureline avancait en tête et trouva le passage. L’étagère pivota, laissant place à une ouverture. Quatres personnes entrèrent, dont Raven. Le Gryffondor attendait le moment de la fete. Cette fete qui promettait d’etre formidable. Raven posa une question inutile. Bien sur que tout était en place. Ils n’étaient pas Angels Of Deaths pour rien.

HRP – Bon, je continu, les Angels of Death s'inscrusteront dans la suite du RP, car là ça traine trop. Pour Ellen, on fait comme si elle n'avait jamais été là (en même temps on a pas d'autre choix). En ce qui concerne Olivia, je la fais agir avec Laureline ça ira plus vite, puis après j'posterais dans la Grande Salle avec elle ;).
Au passage, vous pouvez poster votre dernier message ici, puis ça se continu dans la Grande Salle. Postez un sujet dans l'topic principal, puis à Minuit on explose tout (j'donnerais le créno). Becots (L). |

Une ombre se dessinait, elle lui était familière. Raven... Le coeur de la préfète battait fort dans sa cage thoracique, ça faisait tellement longtemps... Mais elle n'allait pas commencer à faire sa petite copine exacerbante. Ils avaient du boulot ce soir, et ça allait passer avant tout. Sans doute n'aurait-elle même pas le temps de lui voler un baiser de la soirée, mais tant pis, elle le voyait enfin en chair et en os : ça lui suffisait pour le moment. Et puis, ils se fixeraient un nouveau rendez-vous. Ils le devaient, elle ne pourrait pas tenir sans de toute façon. La Serpentard se mordilla la lèvre, regarda Aaron ainsi que tous les Angels of Death qui débarquaient un par un du passage secret. Ils devaient se magner de porter un masque, sinon, ça allait être l'hécatombe... Elle émit un sourire. Tout était prévus, ils n'avaient pas à paniquer. Elle attendait depuis tellement de temps... Kae avait eu une idée merveilleuses, une idée tellement révolutionnaire. Peut être que cela changerait tout : sans doute. Elle avait hâte, tellement hâte.

Fallen Angel – Laureline…tout est en place ?

Quelle question ! Il parlait à Wilde là. Miss Perfectionniste de première, donc oui, bien évidemment, tout était prêt. Elle acquiesça d'un signe de tête et lui envoya une dizaine de masques (pour les Angels of Death on va faire des PNJ ce sera plus simple, car à trois ça va pas trop le faire sinon, c'est plus trop une invasion dans ce cas). Elle prit soin de le faire de façon à ce qu'il l'attrape sans trop se concentrer, de toute façon, il n'était pas du genre à éviter. Elle se retourna, et dès qu'ils eurent tous enfiler leur masque, elle fit de même, se mêlant d'avantage au noir. Le « rêve » pouvait débuter. Ils étaient fin prêt. La Serpentard scruta ses lèvres avec sa langue, elle stressait un peu, il fallait l'avouer, mais c'était aussi une partie d'excitation. Elle allait sans doute devoir se retenir pendant le Bal, à minuit, lorsque l'attaque débuterait. Mais tant pis, elle le ferait, pour Raven surtout, et puis, il fallait qu'elle termine ses études pour devenir une Langue-de-Plomb et accéder aux informations classées les plus secrètes : il le fallait. A n'importe quel prix. Elle trouvera ce qu'elle cherche, puis elle les rencontrera, et là, les Wilde se retrouveront au nombre de deux : Chloé et Laureline, les uniques.

Fatalité – Je pense qu'on devrait y aller. Histoire de profiter de la fête avant que minuit ne sonne, non ?

Pas que de voir des filles et des garçons se trémousser sur une musique de rock l'intéressait, mais elle ne voulait pas trop faire attendre son cavalier, avoir un minimum de politesse faisait partie de sa vertu, bien que, généralement, elle soit toujours en retard. La Serpentard émit un sourire puis en s'assurant que tout le monde suivait, elle entama le passage. C'était partie. Alec serait sûrement sur place, il était professeur et devait être avec les Directrice, sinon ça allait paraître suspect par la suite. De toute façon, il ne pouvait attaquer sinon il révélerait son camp et c'était foutu. Silence. L'adolescente se hissa en dehors de la bibliothèque, puis descendit les marches du quatrième étage. Ils allaient faire un massacre. Tout déchirer. Tout massacrer. Il y aurait sûrement des morts, et alors ? Ca ne changerait rien, que dalle. Fallait juste continuer, juste continuer de rêver.

Concierge – Bonjour. Miss Wilde je présume ?

La préfète sursauta puis se retourna vers le nouvel arrivant. Elle stressait à mort, si Raven était découvert ils étaient fichu. Elle grimaça en lâcha un petit « Oui, c'est exact ». Elle n'avait pas trop envie qu'il pose la question fatidique. Oh, et puis, de toute façon, elle trouverait bien quelque chose à répondre, elle qui faisait toujours tout au feeling.

Concierge – Et qui sont vos chaleureux amis ?
Fatalité – Ce ne serait pas marrant si je vous dévoilé l'identité des masqués, non ? Vous saurez à minuit, comme tout le monde !
Concierge – Sauf que je ne participe pas à la fête, moi. C'est tellement dépassé pour mon âge.
Fatalité – Oh, excusez moi. En tout cas, on est en retard, on vous laisse, lâcha-t-elle dans un dernier souffle.

Puis elle se retourna avec une petite grimace au visage. C'était trop. Elle serait suspectée si ça continuait, enfin... non. Elle avait Kae avec elle, et Riku ne croirait sûrement en de telle sottise venant de la meilleure amie de sa soeur. Espérons. Elle envoya un sourire un peu stressant aux autres puis continua sa route jusqu'à arriver dans la Grande Salle. C'était partit, le spectacle pouvait commencer. Enfin, il fallait attendre minuit.