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 Blaise Dawny

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2 participants
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Blaise Dawny
4ème année à Gryffondor
4ème année à Gryffondor
Blaise Dawny


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 22/09/2007

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MessageSujet: Blaise Dawny   Blaise Dawny EmptySam 22 Sep - 22:43

FRAGILE - FRAGILE - FRAGILE - FRAGILE - FRAGILE

« J'ai jamais tué personne. »
« Moi non plus. »
« Maman dit que c'est que les gens stupides qui le font. »
« Tu aime ta maman? «
Blaise hésita. Ses yeux verts croisèrent ceux de Tom.
« N-non. «
« Il y a pas de problème alors.»
« Mais comment on va faire? Ils sont adultes, ils ont des baguettes, et ... et ils sont ... ils sont ... forts.»
Tom croisa les jambes et prit un air concentré. Blaise devinait que derrière ses yeux noirs, un plan incroyable se construisait, un plan clair et minutieux, limpide comme son regard. Pendant qu'il ne faisait pas attention à elle, la petite fille détaillait avidement son visage. Il était beau. Il avait des cheveux noirs en bataille, une peau claire, un sourire ...et puis, il avait des idées. Il disait des choses, qu'aucun autre enfant ne pourrait dire N'oserait dire. Il s'occupait d'elle, enfin, il la regardait, lui parlait. Blaise était heureuse. Ce qu'il voulait faire, elle voulait le faire avec lui. Elle n'avait peut être que six ans, mais elle avait de la suite dans les idées. Sa vie était façile : Tom. Tom.
« Tom ... »
« Mmh ? »
Blaise baissa les yeux, déglutit le plus silencieusement possible. Il ne fallait pas qu'il se vexe. Tom était sensible. Il pouvait faire mal, surtout à elle.
« Tu n'aime pas tes parents? » Les yeux de petit garçon se tournèrent vers elle. Froids. " Quelle question stupide ", devait il penser. " Cette fille est stupide. " Blaise se recroquevilla. Elle ne voulait pas qu'il pense ça. Elle n'était pas bête, elle comprenait parfaitement qu'il ait envie de les tuer. Tout le monde en avait envie, un jour ou l'autre, surtout pour le siens. Mais elle, seule, elle ne l'aurait jamais fait. Et pourquoi voulait il aussi tuer ses parents, à elle? C'est vrai qu'ils étaient parfois méchants. Et qu'ils n'aimaient pas Tom. Mais ... mais il subistait un « mais » dans l'esprit de Blaise. Quelque chose d'indéfinissable. Un malaise, profond, qui lui faisait mal au ventre. Si Tom n'était pas là, je le ferais pas. Mais il était là, et c'était tout ce qui comptait. Non? Elle leva les yeux vers lui. Il regardait ailleurs, l'air un peu perdu. Son regard restait glacial.
« Non. »


« Tant de haine ...»
« Oui, c'est incroyable. Pourtant il ...»
« Si petit ... tuer ! Je veux dire, bien sûr, son père était dur ..»
« Les enfants sont parfois cruels. «
« Et la petite. Sauvée ... au dernier instant. »
« Elle doit être ébranlée. Il voulait lui faire ... enfin, vous voyez. «
« Tant de haine ...»
Ne plus entendre. L'enfant se recroquevilla dans ses couvertures. Elle ne pleurait pas. Ses larmes étaient fatiguées de couler, couler, sur son visage tiré. Les adultes pensent toujours que les enfants n'entendent rien. Pourtant, chaque mot lui parvenait avec la clartée d'un coup de couteau dans la poitrine, derrière la porte. Qu'avaient ils faits de son ami? Pourquoi ne venait il plus? Il fallait qu'ils lui pardonnent. Ils ne comprenaient rien, rien à ce qu'il avait pu ressentir. Il était un millions de fois mieux qu'eux. Il s'était montré plus intelligent, plus fort, il avait réussi ... elle avait échoué, elle. Elle éspérait juste qu'il ne lui en voulait pas. Ils étaient arrivés avant. Et puis, sa maman était quand même plus gentille que le père de Tom. Lui, méritait ce qu'il lui était arrivé. Il serait diffiçile de lui enlever cette idée de la tête. Tout se brouillait dans l'esprit de Blaise. Pourquoi ne venait il pas? Seule, elle n'arrivait pas à les convaincre. Tom ... il avait des yeux noirs si jolis. Un sourire tellement ravageur. Peut être qu'il s'était trouvé une autre fille, plus courageuse et plus jolie. À cette seule pensée, l'eau de ses yeux se libéra à nouveau, alors que ses joues étaient restées sèches en pensant au père assassiné. Depuis ces trois jours, ces trois jours plus douleureux que n'importe quoi d'autre, sa mère la tenait enfermée à la maison. Elle étouffait. Si elle l'avait tuée, tout serait différent. Maintenant tout était fichu, par sa faute, à elle seulement. Il fallait qu'ils libèrent Tom. Qu'ils ne le touchent pas, de leurs grandes mains d'adultes. Tom. Elle se souvenait du jour ou elle l'avait rencontré. Les souvenirs de ses années précédentes tourbillonnaient, s'effacaient à demi, glissaient dans un oubli qui lui semblait naturel. Mais cette journée là, elle ne l'oublierait probablement jamais. Au jardin, un ballon en main, ils s'étaient tout simplement mits à jouer ensemble. Il souriait, de ses dents blanches, et il riait. Il la regardait avec des yeux brillants, comme si il était amoureux. À présent, Blaise voyait bien que Tom n'était pas le genre de garçon à « aimer. » Elle, elle l'avait chéri, de tout son être. Peut lui importait, au fond, ce qu'elle était réellement pour lui. Il suffisait qu'il reste à ses côtés. La petite fille pouvait se faire des films romantiques toute seule, ce n'était pas grave. Tom était là, voilà tout. Et maintenant, il n'y était plus. Par sa faute, elle en était sûre.

Blaise Dawny reprenait diffiçilement goût à la vie. Elle ne se peignait plus, ne jouait plus. Elle restait blottie contre la fenêtre, fixant de ses yeux verts le soleil qui l'invitait timidement à venir dehors. Mais il pouvait aller se faire voir, ce soleil, cette balançoire, cette poupée, cette maman. Ils étaient tout ce qu'il y'a de plus inutiles. Fades, gris, souriants à tout va alors qu'il n'y avait vraiment pas de quoi rire. Ce qu'elle constatait, c'était qu'il lui manquait. Et tout le monde semblait s'être secrètement concerté pour ne rien lui dire de lui, ne pas prononçer son nom, la faire souffrir en silence. Souffrir. Son corps était malade. Une migraine violente lui monopolisait le crâne, ses membres étaient lourds, elle toussait, maigrissait, vomissait. Son visage rondouillet de gamine pâlissait, de grands creux se formaient dans ses joues. Ou était il, bon sang? Elle avait besoin de son regard profond, confiant et décidé, de ses couleurs vives. Il était fou? Et alors? Qui pouvait le juger, lui qui souffrait tant? Les grands tuaient, et lui il était mieux que les grands. Il n'y avait rien de bizarre chez lui. Rien ! Si on ne le lui rendait pas, elle se laisserait dépérir. Ses parents étaient terrorisés par ce comportement. Dès qu'elle parlait, ce qui était rare, sa voix se cassait dans les larmes. Elle faisait peur, mais on ne pouvait le lui rendre. Elle avait faillit tuer ses parents. Pour lui ! Parce qu'il le lui avait dit. C'était un gamin dangereux. Elle devenait dangereuse, elle aussi : elle se détruisait, effançant tout autre sentiment que la douleur. Pourtant, les jours passaient, le temps s'écoulait sans prendre soin d'elle. Objet fragile, on n'osait plus la toucher tant elle semblait capable de se briser définitivement.

« Pourtant » Il y a toujours une brèche, une fêlure. Rien ne peut durer éternellement. Un jour, le soleil sut convaincre Blaise. Il brillait fort sur un seau rouge enfoncé ostensiblement dans le sable, et le vert fort de l'herbe lui fit oublier un instant cette figure dont elle mourait, ces yeux noirs maladifs. Elle pouvait toujours se dire qu'elle l'aimerait toute sa vie : à ne vivre qu'avec un souvenir, elle en vomissait de cette image. Un soulagement intense l'envahit quant elle posa ses pieds sur l'herbe sèche ; l'été chauffait sa peau laiteuse, faisait s'évaporer les larmes. La vie reprenait, timide, fragile, fraîche. Vous connaissez, j'en suis sûre le goût des larmes séchées, le soleil sur la peau, une musique réconfortante aux oreilles. Blaise n'était pas une petite nature, une fille timide ou renfermée ; elle avait juste un immense chagrin d'amour. Et puis elle était jeune, et les souvenirs d'enfance s'effaçaient failement, s'adoucissaient au fil des jours de bonheur. Les jeux l'amusaient plus que jamais ; elle était jolie, aimait chanter, dessiner. Pourquoi ne serait elle pas heureuse? Tom restait cependant présent dans sa mémoire, comme une image aux tons trop vifs, qui lui faisait mal à la tête. Les yeux, le sourire ... il lui fallait beaucoup d'autres couleurs pour oublier celles là. Peu à peu, le visage chéri devint synonyme de souffrances. Blaise voulait oublier. Elle avait peine à présent à se rappeler qu'elle avait voulut tuer sa mère, qu'elle avait ressenti cette haine puérile dans son coeur.

Une vie de 11 ans contient tant de choses, tant d'émotion, de soupirs, de sourire, de goûts et de couleurs. Des rêves, des cauchemars, des choses interréssantes. je pourrai vous la décrypter en profondeur, pour que vous compreniez tout de ses peurs, de ses paroles, d'Elle. Elle est comme vous, étrange. Personne ne peut la voir vraiment, c'est à peine si on entre'aperçoit dans ses yeux verts le fond du lac. Blaise est une fille défilochée, vivant la vie sans la comprendre. Regarder, courir, réagir. Plein de choses autour de vous. Un univers, des gens. Pourquoi sont ils là? Pour exister, il faut oublier. Oublier la vraie nature de ce qui nous compose, sinon on devient fou. Peut être que vous ne comprenez rien ; ce n'est pas grave, je suis sûre que ces mots trouveront une résonnance quelque part. Car ce sont ceux qui la décrivent le mieux. Blaise vit comme dans un flash, une lumière rouge, brève, vive qui lui abîme les rétinnes. Elle est gentille, elle aime, elle rit, elle s'adapte. Car si elle reste seule, tout lui fait mal. Si on l'oublie, si un instant elle pense, pense à ce qu'elle fait, à ce qu'elle a fait, au sens de ce qu'elle fait, elle se casse comme du verre secoué par un son trop violent. Des fêlures, elle en a, des nombreuses, profondes et discrètes ; il y en a même qu'elle montre, comme tout le monde, dont elle se vante. Blaise a des amis, des histoires, des gens pour qui elle donnerait beaucoup et même plus. Miss Dawny est capable d'une écoute attentive, d'une amitié solide - mais exemple courant, jamais elle ne parlera de Tom. D'abord parce qu'aujourd'hui, il n'est plus qu'un souvenir flou et douleureux, ensuite parce qu'il la rendrait vulnérable. Il permettrait qu'on lui fasse du mal. Le moindre mot dans une bouche étrangère à propos de Tom la blesserait comme une lame de couteau. Blaise a peur de la douleur comme on a peur du feu. Elle n'a jamais eut de mal à approcher les gens, mais a toujours gardé d'immenses pans de mystère sur elle même. Que personne ne salisse sa mémoire, ses sentiments. Elle n'a jamais cherché à comprendre d'ou lui venait cette peur. Elle les vit, comme elle vit tout le reste. C'est du genre à faire des conneries pour apaiser la douleur, à se défoncer pour quelques instants de paix. N'allez pas croire qu'elle fait ça tous les jours, mais c'est sans états d'âme.

Il y a un point important que j'ai omis de souligner : Blaise est née dans un milieu fondamentalment sorcier. Parents, grands parents, amis, famille : il n'y a pas une once de moldu dans sa vie. C'est pour elle comme un jeu, de cacher son appartenance au monde magique. Un réflexe, un instinct qu'on lui a inculqué depuis sa naissance. La jeune fille considère les moldus comme amusants, naifs, mais jamais elle n'a nourrit aucune haine à leur égard. Elle n'a aucune raison pour cela. Elle a grandit calmement dans l'ensemble, dans une situation financière confortable, avec des parents sévères mais aimants. Sa découverte des pouvoirs s'est faite naturellement, comme la perte des dents ; un jour qu'elle jouait dans le bac à sable du jardin, elle s'est soudain soulevée, et s'est mise à flotter doucement dans les airs, tête en bas. C'était plutôt comique à voir, à vrai dire. En bref, Blaise garde un souvenir de sa maison d'enfance assez doux. Dans la banlieue de Londres, un jardin à l'herbe fraîche, avec son bac à sable chéri derrière la baie vitrée du salon. La balançoire volontairement abandonnée pour lui donner un air vieillot, et puis les tomates ... une image chaleureuse chargée de bobos aux genoux, de comptines et de crêpes, parfois entrecoupée d'un regard froid comme de la glace. Cela aussi, Blaise ne veut pas qu'on le lui enlève. Sa mère, longiligne, au visage joliment ridée et aux mains douces : son père, grand et massif, travailleur, distant et bourru. Tout cela faisait vaguement cliché, mais la jeune fille s'en fichait alors : vivre sa vie, sans plus s'étonner, sans chercher à comprendre.

Il vous faut maintenant savoir que Blaise est une jeune fille de 14 ans. Ce n'est pas une pure beauté, mais il y a quelques éléments qui sont indibutablement attirants chez elle. Pour voir qui est Blaise, je pense qu'il faut aussi avoir une image juste de son physique. Tout d'abord, elle est grande, du genre longiligne, comme sa mère dont elle a hérité la maigreur. Une brève phase d'anorexie pendant sa petite enfance renforce les creux de ses formes. On ne peut pas dire qu'elle mange beaucoup, c'est plutôt un grignotage constant que l'alimentation chez elle. Enfin, elle survit. Sa peau est raisonnablement lisse, vu la période d'adolescence dans laquelle elle est plongée. D'un naturel pâle, sans être maladif, elle a tendance à maquiller ses joues d'un peu de rose, histoire d'être plus colorée. Deux grands yeux d'un beau vert virant du tendre au sombre viennent éclairer son visage opalin ; des cheveux d'un noir de jais s'entremêlent sur sa poitrine, souvent négligemment jetés en arrière, juste pour s'accorder avec son teint blanc et son regard coloré. Ses traits sont dans l'ensemble réguliers, qu'on qualifiera de quelconques. Blaise inspire généralement détachement, calme et chaleur. Elle s'habille de couleurs claires, de sweat et de jean sans goût particulier ou de chemises froissées. La jeune fille possède ce qu'on appelle une « classe naturelle », la juste attitude lui vient naturellement. Certain l'envieront pour cela, mais ce sont des personnes qui ne creusent pas suffisament pour la connaître. Blaise peut être normale, enjouée, vulgaire, déprimée même : mais sa facette cachée à elle la rend aussi vulnérable qu'un oiseau.

Comme la plupart des élèves, Blaise porte un amour profond à Poudlard. Ah, c'est vrai, j'ai aussi oublié de vous décrire cette phase de sa vie. Remarquez, il n'y a pas grand chose à dire. c'était tellement certain que ce ne fut pas une surprise, le jour ou arriva dans un froufroutement de plumes une lettre jaunie cachetée d'un seau de cire rouge. Blaise arriva comme une élève modèle : le top des fournitures, les dernières nouveautés magiques, avec un sérieux train d'avance sur ses camarades aux parents moldus. Elle n'était certainement pas sang pur, il y avait bien un niveau ou du sang non magique avait fait son apparition dans la famille, mais elle avait été élévée dans ce milieu, initiée aux sorts de base, connaissant tout le vocabulaire magique. Sa répartition dura longtempts, le choixpeau hésitant longuement. Mais elle finit par être envoyée à Gryffondor, sous une pluie d'aupplaudissements. Bref, elle fit très bonne impression. Cela ne fit pas d'elle un ange pour autant : elle eut vite fait de se faire des amis, de commencer bêtises, coups fourrés et punitions à la pêle. Mais cela contribuait à sa popularité, à vrai dire.

Blaise. Certains se plaisent à l'appeller « Braise » sous prétexte que c'est un nom masculin. Mais la jeune fille a toujours aimé ce nom, que personne ne portait. Pour une sorcière, c'était classe. Non? Si. De toute façon, elle existe, c'est son nom. Quelle direction cette jeune fille va prendre, moi même je n'en sais rien. Elle est si fragile, qu'un rien pourrait la fracasser ... du mauvais côté.
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Blaise Dawny
4ème année à Gryffondor
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Blaise Dawny


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MessageSujet: Re: Blaise Dawny   Blaise Dawny EmptySam 22 Sep - 23:01

QUESTIONS HJ.

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Alice E. Warldorf
Membre du Magenmagot
Alice E. Warldorf


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Poste: Administratrice.
Camp: Neutre.
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MessageSujet: Re: Blaise Dawny   Blaise Dawny EmptySam 22 Sep - 23:16

*_*
Waw.

J'veux jouer avec Blaise moi..

Validée.
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Blaise Dawny
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Blaise Dawny


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MessageSujet: Re: Blaise Dawny   Blaise Dawny EmptySam 22 Sep - 23:28

Jt'aimeuuuh. <3
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MessageSujet: Re: Blaise Dawny   Blaise Dawny Empty

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